Prochaine réunion de AMAE – Anciennes Fêtes de Quartier

La prochaine réunion de AMAE se tiendra le mardi 20 octobre 2020 à 18h30 à l'Argonaute. Elle aura pour thème les Anciennes Fêtes de Quartier. Elle est ouverte à tous, adhérents ou non-adhérents de l'association. Vous trouverez un bulletin d'adhésion sur le dépliant de l'association AMAE. Pour le moment, nous avons déjà quelques informations sur les Fêtes de Bellébat et les Fêtes de l'Argonne. Si vous avez des informations documents, anecdotes sur ces fêtes ou sur celles de la Barrière Saint Marc, ils sont les bienvenus. En raison du contexte sanitaire, la jauge de la salle de l'Argonaute est limitée. Merci de nous indiquer votre présence à contact@amae.eu N'hésitez pas à transmettre l'information si, autour de vous, des habitants ont des informations sur ces fêtes.

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Dépliant AMAE et bulletin d’adhésion

Téléchargez le dépliant AMAE avec les objectifs de l'association, ses réalisations et ses projets et soutenez-nous en adhérant à l'association mais aussi en contribuant à nos travaux (partage de souvenirs, collecte d'objets anciens, de documents, etc...).

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Histoire des commerces – le 125 Rue de l’Argonne

Quel souvenir avez-vous des anciens commerces de la rue de l'Argonne ? Quelle est leur histoire, à quand remonte cette histoire ? Qu'en reste-il ?N'hésitez pas à commenter ou corriger ces informations et à compléter, si possible, avec des photos de ces commerces (envoyer à contact@amae.eu). Un permis de construire daté du 2 mai 1947 pour M Fernand Réau permet d'identifier la fonction de ce bâtiment. En effet, la façade porte la mention "Charcuterie" et le plan du rez-de-chaussée fait mention du magasin. Façade et plan du rez-de-chaussée du permis de construire accordé le 2 mai 1947. Source : Archives Municipales et Communautaires d'Orléans. En 1949, le fils de M Réau, Raphaël, reprend le commerce suite au décès de son père, avec sa mère, Marie Mergnant. Il y vend des œufs, des lapins, du gibier au détail et loue les chambres à l'étage. En 1954 il est fait mention de commerce de livres sous l’appellation "CREACOP - Société Francs et Franches Camarades".Le 17 août 1967, M Raphaël Réau obtient le permis de modifier le bâtiment en vue d'en faire une supérette. Les plans de l'actuel permettent de juger de l'évolution du bâtiment depuis 1947. Façade et plan du rez-de-chaussée de l'existant intégré dans la demande de permis de construire qui sera accordé le 17 août 1967. Source : Archives Municipales et Communautaires d'Orléans. Sur les plans du projet de modification de 1967, on retrouve la facade indiquant "SPAR", "Smith's Mini Market" et Epicerie, fruites, légumes, charcuterie" et la disposition à l'intérieur du magasin. Le nom Smith est celui de jeune fille de la femme de Raphaël Réau : Monique. Façade et plan du rez-de-chaussée du projet de modification du bâtiment intégré dans la demande de permis de construire qui sera accordé le 17 août 1967. Source : Archives Municipales et Communautaires d'Orléans. En 1976 le commerce…

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Histoire des commerces – le 133 Rue de l’Argonne

Quel souvenir avez-vous des anciens commerces de la rue de l'Argonne ? Quelle est leur histoire, à quand remonte cette histoire ? Qu'en reste-il ?N'hésitez pas à commenter ou corriger ces informations et à compléter, si possible, avec des photos de ces commerces (envoyer à contact@amae.eu). La première fonction de ce bâtiment était pour le logement comme l'indique le permis de construire établi au nom de Michelin le 17 juillet 1931. Le permis d'habiter est délivré le 30 avril 1932. En parallèle est aussi déposé par M Hatton un permis de construire en date du 1er juillet 1931 pour construction d'une boucherie au rez-de-chaussée et logements au premier étage. Le permis d'habiter est délivré le 30 avril 1932. Plan de la façade de 1932 avec mention "Boucherie". Source : Archives Municipales et Communautaires d'Orléans. De 1938 à 1949 M Gaston Azambourg reprend l'activité de boucherie. M Hatton devient propriétaire des lieux en 1948, sans doute à la suite de M Michelin.La boucherie est reprise en 1949 par Robert Graveline qui loge avec sa femme Rolande à l'étage. A son décès le 17 septembre 1962, Rolande Graveline reprend le commerce de boucherie et devient propriétaire du bâtiment. Un permis de construire (pour modification de façade ?) au nom de M Graveline est accordé le 26 juin 1959. Plan de la façade de 1959 avec mention "Boucherie". Source : Archives Municipales et Communautaires d'Orléans. M Roland Piedalu reprend le commerce en 1980. Une épicerie "Exotique Valley" a pris le relai jusqu'en octobre 2018, date de sa dissolution. Elle proposait des articles ménagers, de la parfumerie, de la décoration exotique et des produits frais d'importation. L'activité est reprise par la société "BEST LOOK" société dont Brahim El Guadrouri est le président, créée le 26 février 2018 qui a pour activité le commerce de détail divers. Photo de la façade…

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Histoire des commerces – le 145 Rue de l’Argonne

Quel souvenir avez-vous des anciens commerces de la rue de l'Argonne ? Quelle est leur histoire, à quand remonte cette histoire ? Qu'en reste-il ?N'hésitez pas à commenter ou corriger ces informations et à compléter, si possible, avec des photos de ces commerces (envoyer à contact@amae.eu). Au croisement de la rue de l'Argonne et de la rue du Fil-Soie, le bâtiment semble avoir été construit en 1931 par la Société anonyme Orléanaise des logements économiques pour familles nombreuses.Le fond de commerce du "Familistère" est exploité par la Société Docks de Blois qui deviendra propriétaire des lieux en 1959. Le premier étage est dédié au logement locatif. Albert Meunier occupe temporairement les lieux en 1933 pour faire commerce d'huitres pour la consommation locale. Les enfants déguisés pour la Fête de l'Argonne posent devant le familistère. Date inconnue (1946 ?). Source : collection de Lydie Gascoin. Le char de la Reine de la Fête de l'Argonne passe devant le familistère. Date inconnue (1946 ?). Source : collection de Lydie Gascoin. Question : il est fait également mention d'un supermarché "Cali"...Pour en savoir plus sur les familistères :https://www.lanouvellerepublique.fr/blois/le-familistere-la-grande-epicerie-blesoisehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Radar_(magasin)

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Le Réveil de Bellébat

A l'angle de la Venelle Doublet se tient un lieu mythique du quartier qui a largement participé à son animation : Le Réveil de BellébatLa première activité a été celle d'un cabaret-épicerie tenu successivement par Germain Lempereur-Sévin (1896-1897), Théophile Doubard (1897-1898), Angebert Parnault (1898-1902) et Jean-Joseph Houdré (1902-1904). Le propriétaire du bâtiment était alors Eugène-Sylvain Jabrillat. Il vend ensuite le bâtiment et le fond de commerce à Emmanuel Moreau qui poursuit l'activité de cabaret-épicerie de 1904 à 1914. Sa femme, Louise Moreau née Beaujouan, prend la succession de 1914 à 1943. Elle cède ensuite le fond de commerce à Hippolyte Montereau qui conserve l'activité de cabaret-épicerie jusqu'en 1947. A partir de 1947, c'est Germain Beauvallet qui reprend l'activité du bar-épicerie "Le Réveil de Bellébat". Le propriétaire des lieux est alors Patrice Durand-Goudet. Difficile de savoir quand l'activité de M Beauvallet s'arrête : 1962, 1980, 1983 ?Les lieux deviennent ensuite un bar à hôtesses avant d'être transformés, dans les années 2017-2018, en logements locatifs.Questions :- De quand date le nom "Le réveil de Bellébat" ?- Quelles sont les périodes d'activité du bar-épicerie de M Beauvallet et du bar à hôtesses ? Source photo : https://lereveildebellebat.skyrock.com/1.html

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Mais pourquoi… L’église Saint-Jean-Bosco, à Orléans, n’est-elle pas classique ?

L'architecture sobre et moderne de l'église Saint-Jean-Bosco. © gaujard christelle Un article à lire sur le site de La République du Centre.

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