La Maison des Jeunes – Ouverture en Janvier 1973

Bonjour à toutes et à tous, Dans le bulletin municipal numéro 9 de janvier 1973, la ville informait les habitants de l'ouverture de la Maison des Jeunes, implantée rue de la République (voir article ci-dessous). Aujourd'hui, ces bâtiments abritent le Théâtre CLin d'Oeil et l'association "Tu connais la nouvelle". Vous avez connu la Maison des Jeunes, vous l'avez fréquentée, alors, racontez nous ? Bonne soirée à vous et à demain (Sources : bulletin municipal numéro 9 de janvier 1973). bulletin municipal numéro 9 de janvier 1973) - page 28

Continuer la lectureLa Maison des Jeunes – Ouverture en Janvier 1973

Auberge du Vert Galant

Bonsoir à toutes et à tous, Trois derniers jours : 3 questions, 3 réponses ! SAMEDI : La clé sur la maison, au croisement de la rue de Roche et de la rue Jean Racine. Pourquoi ? Ce soir, Morgane nous dit : "Bonjour, ancienne propriétaire de cette maison, lors du ravalement au début des années 2000, nous avons décidé de faire cette clé, tout simplement en rappel à la rue des 3 clés qui est en face. La fenêtre est condamnée depuis au moins un demi-siècle". Merci à elle. DIMANCHE : Les Galeries de la gare. C'est Daniel qui nous a donné des informations. Merci LUNDI : Réponse à la question posée : Cette maison était l'ancienne auberge "Le Vert Galant". Et qui était "le Vert Galant" ? Comme vous le savez tous, c'était le roi Henri IV ! Reprenons maintenant l'histoire que nous a contée chez lui Joseph Méret, lors de notre visite en 2013. Il avait à l'époque 99 ans et son épouse Gisèle 92 ans, tous deux issus des deux plus vieilles familles de Saint Jean de Braye. Joseph nous confie ses souvenirs du "pays" et c'est alors qu'il nous parle de l'auberge "Le Vert Galant" et de la baignoire en cuivre qui est restée très longtemps dans la cour. Ce n'est pas n'importe quelle baignoire, c'est dans celle-ci que le roi Henri IV se lavait en arrivant à cheval au hameau de Bionne, avant de se diriger vers Olivet, où il retrouvait une de ses nombreuses maîtresses : Gabrielle d'Estrées. Le roi aimait les femmes, les maîtresses les plus marquantes d'Henri IV demeurent Gabrielle d'Estrées et Henriette d'Entragues. Amoureux fou de la première, le roi se montre disposé à l'épouser dès lors qu'il aura pu faire annuler par le pape son mariage. Mais, la mort de Gabrielle va briser son rêve…

Continuer la lectureAuberge du Vert Galant

Question du 9 mai 2022

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à notre publication d'hier soir, concernant les " Galeries de la gare", seul Daniel nous a donné des informations.Nous le remercions vivement ! Jamais 2 sans 3 ! une troisième question ce soir :Vous marchez en direction de Chécy, à proximité du pont de Bionne, et vous voyez cette maison sur votre gauche.Elle vous rappelle une histoire que vous avait contée un abraysien de longue date, âgé à l'époque de plus de 95 ans,  lors d'une visite chez lui.Comment se nomme cette maison ?Et pour quelles raisons ? Nous attendons vos propositions et vous souhaitons une excellente soirée.CPA : collection G. Creusillet Sous quel nom cette maison est-elle connue ? Pour quelle raison ?

Continuer la lectureQuestion du 9 mai 2022

Question de la semaine…

Où se trouve ce bâtiment en arrière-plan ? De quoi est-il le vestige ? Ce bâtiment c'est le chalet qui était localisé dans le parc de la Villa Sébastopol et qui a été conservé lorsque la villa fût détruite pour créer des logements. Toute l'histoire est racontée ici. Le petit chalet dans le parc de la Villa Sébastopol. Collection J.P. Chamaillard

Continuer la lectureQuestion de la semaine…

Les Galeries de la gare

Bonsoir à toutes et à tous, Notre question d'hier soir, est restée sans réponse. Nous essaierons de nous renseigner et vous tiendrons informés. Si de votre côté, vous obtenez des informations, merci de nous les transmettre. Avez-vous connu les Galeries de la gare ? Si oui, n'hésitez pas à nous confier vos souvenirs ! Avant hier : CPA collection G. Creusillet Hier : photo JJR Aujourd'hui : ChR Excellente soirée à vous, et à demain. CPA - Les Galeries de la gare autrefois Les Galeries de la gare avant démolition L'emplacement des Galeries de la gare aujourd'hui

Continuer la lectureLes Galeries de la gare

Question du 7 mai 2022

Bonsoir à toutes et à tous, Par une belle journée ensoleillée, vous vous promenez tranquillement dans les rues de la ville de Saint Jean de Braye, et soudain, vous vous trouvez juste en face de cette fenêtre condamnée. Elle se trouve au croisement de la rue de Roche et de la rue Jean Racine. Alors, vous vous interrogez : Pourquoi cette clé ? Pour le moment, nous sommes dans la même situation, nous nous interrogeons ! Alors, si vous avez des informations, si vous connaissez les occupants de cette maison, n'hésitez pas à nous donner des explications. Merci, bonne soirée à vous, et bon dimanche. Photo : ChR Pourquoi cette clé ?

Continuer la lectureQuestion du 7 mai 2022

La Loire – 3 – Suite

Bonsoir à toutes et à tous, Continuons encore ce soir avec notre belle et chère Loire : Nos collines ont vu descendre sur le fleuve les pierres du Nivernais destinées à la construction d'une partie de la Cathédrale Sainte Croix.Parmi les voyageurs illustres, le "Grand chemin qui marche" a porté le 2 juin 1598, Henri IV, qui venait en grande pompe rendre visite à la bonne ville d'Orléans; plus tard, Madame de Sévigné qui affectionnait particulièrement ce mode de transport, descendit plusieurs fois le "Fleuve royal". Une" remontée" qui eut moins de succès fut le voyage d'un "Remorqueur" en 1836. Cette année-là, on inaugurait le pont de Sully, et la Compagnie des Remorqueurs avait organisé une excursion au départ d'Orléans pour cette circonstance.Elle rencontra un tel engouement car un grand nombre de promeneurs s'embarquèrent le matin à Orléans en direction de Sully.Le bâtiment franchit fièrement les passes de Saint Jean de Braye, Combleux, Chécy, Bou mais, après sept heures d'efforts s'échoua définitivement à Jargeau. Sous le second empire; les maîtres-mariniers, bateliers et ouvriers de la Loire étaient abasourdis par une nouvelle extravagante :On pensait à "la dérivation de la Loire au profit de la ville de Paris"; Ce projet avait pour titre "Canal de la Beauce".Ils envoyèrent une pétition à l'empereur dans laquelle ils exprimaient leur crainte de voir la Loire "cesser d'exister comme fleuve de Briare à Tours; son lit asséché en été ne serait plus, disaient ils, qu'un foyer d'infection et maladies pendant la saison du rouissage des chanvres". Le régime vit sa chute mais La Loire coule toujours au pied de nos collines. Bonne soirée à vous,et à demain. Sources : Supplément gratuit - Nouvelles d'Orléans - 18/05/1990 et Livre de François Marchand.Photo : A bord d'un Inexplosible - Annick Senotier -  Sous la direction de Patrick Villiers - Corsaire Editions. Source :…

Continuer la lectureLa Loire – 3 – Suite

Notre page Facebook

Bonjour à toutes et à tous, Vous êtes abonnés, vous consultez cette page régulièrement ou occasionnellement et vous aimez nos publications, continuez à faire connaître notre page ! Si pour une raison ou une autre, vous utilisez des informations, des photos, et des cartes postales anciennes de la collection particulière de Gérard Creusillet, des archives municipales, ou autres, nous vous prions de bien vouloir citer vos sources. Merci à vous. Groupe Mémoires et Patrimoine du Comité des Sages de Saint Jean de Braye. CPA - Collection G. Creusillet

Continuer la lectureNotre page Facebook

La Loire – 2 – la navigation

Bonsoir à toutes et à tous, La Loire est célèbre par les châteaux qui jalonnent son cours, mais bien avant ces demeures princières, elle avait su se rendre utile. On peut remonter à l'Antiquité et l'on voit qu'elle servait au transport des bois par flottage; elle faisait tourner les moulins; elle permettait le lavage du linge, de la laine, et le tannage des peaux; elle a fait vivre des familles grâce à la pêche. La navigation fluviale fut très importante avant 1851 où les remorqueurs cessaient leur activité. La mise en service, le 26 mars 1846, de la ligne de chemin de fer annonçait le déclin de ce mode de transport. "Le journal du Loiret" du 14 mars 1846 se faisait l'écho de l'inquiétude orléanaise en écrivant " La Loire déshéritée, la Marine frappée au coeur, les hôtels abandonnés, le commerce de transport diminué, la cité réduite à la population indigène, voilà ce que nous réserve, à nous, la mise en activité du chemin de fer de Tours". Cependant, un horaire de chemin de fer de Paris faisait montre d'une entente entre les deux modes de transport qui assuraient les "correspondances". Deux compagnies de bateaux à vapeur figuraient sur cet horaire : - les Inexplosibles de la Loire qui assuraient deux départs par jour d'Orléans pour Blois, Tours, Angers et Nantes; le premier à 7 heures précises du matin; le deuxième après l'arrivée du premier train du chemin de fer. Un départ chaque jour d'Orléans pour Gien, Cosne, Nevers et Moulins à 5 heures précises du matin. Les bateaux des deux lignes arrivent à Orléans avant le départ des derniers trains du chemin de fer pour Paris. - les Paquebots de la Loire qui assuraient un départ par jour après l'arrivée du premier train de chemin de fer pour Blois, Tours, Angers et Nantes. Au retour,…

Continuer la lectureLa Loire – 2 – la navigation