L’Orme du Martroy et Simon Boucault

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à notre publication d'hier soir, plusieurs d'entre vous ont donné 1, 2 ou 3 bonnes réponses. Bravo ! La propriété, située au 132 rue de Charbonnière, c'est l'Orme du Martroy. Le dernier propriétaire-occupant : Simon Boucault. Musicien professionnel, issu du Conservatoire international de jazz de Paris, Simon Boucault a toujours vécu pour la musique qui lui a permis de se produire au Moulin-Rouge et aux Folies-Bergère. Après son retour à Saint Jean de Braye, il assura la direction de : - l'orchestre de jazz d'Orléans, - du jazz-band d'Olivet, - d'un ensemble composé de 15 à 20 musiciens présentant un répertoire "style thé dansant", - de la musique des pompiers - de la société de musique de Tigy puis, professeur à l'école de musique, il forma de nouveaux jeunes musiciens. Ces deux coupures de presse, l'une du 16/10/1987 et la seconde du 3 février 1992, vous présentent Simon BOUCAULT, cet abraysien plein de talent. N'hésitez pas à commenter si vous avez davantage d'informations. Bonne soirée, et bon dimanche. A demain. Photos : JJR Coupures de presse : La république du centre L'Orme du Martroy L'Orme du Martroy La REP du Centre de 1992 La REP du Centre 1987

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Question du 7 octobre 2022

Bonsoir à toutes et à tous, Dites nous : 1) dans quelle rue se trouve cette demeure ? 2) comment se nomme t elle ? 3) son dernier propriétaire-occupant était il menuisier, médecin ou musicien ? Nous attendons vos propositions. Très belle soirée à vous. Photos : JJR ?? ?? ?? ??

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Le forum des séniors à Saint Jean de Braye

Bonsoir à toutes et à tous, Dans le cadre de la Semaine Bleue,  la ville de St Jean de Braye et le CCAS ont organisé aujourd'hui le Forum des séniors, à la salle des fêtes de 10 à 19 heures. Nous y étions bien sûr ainsi que plusieurs associations afin de proposer aux abraysiens retraités et aux personnes âgées des activités diverses et variées leur permettant de se distraire, de rencontrer d'autres personnes afin d'éviter l'isolement. Les animations proposées par le foyer Chavaneau, l'ASCA, le Club retraite et loisirs y étaient présentées. Une assistante sociale de la Direction de l'Autonomie du Conseil départemental du Loiret a animé deux rencontres-échanges sur le thème : "Rester chez soi après 60 ans - les aides possibles" où les personnes présentes ont pu obtenir les réponses à leurs questions sur le sujet. Nous avons exposé des panneaux présentant nos différentes activités et fait un retour sur les récentes journées du patrimoine sur le thème "De la vigne à l'arboriculture". De belles rencontres ! Excellente soirée à vous, et à demain. Forum des séniors - photo ChR Forum des séniors - photo ChR

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La Gerberie, rue de la Gerberie

Bonsoir à toutes et à tous, Nous sommes devant la "campagne" de la Gerberie, (côté parc), située rue de la Gerberie. Elle fut la propriété de Monsieur le baron Grignon des Ormeaux qui occupa le fauteuil de maire d'Orléans de 1800 à 1816. Ce baron en fut propriétaire jusqu'en 1837. Aujourd'hui, cette propriété est transmise de génération en génération dans la même famille depuis très longtemps. Dans le parc de cette demeure, on peut observer un séquoia d'une grande beauté. Nous savons aussi que la tempête de décembre 1999 nous a privés de plusieurs beaux cèdres du Liban. Bonne soirée à vous, et à demain Photos JJR - 2 vues côté rue - 2 vues côté parc La Gerberie (côté rue) La Gerberie (côté rue) La Gerberie (côté parc) La Gerberie (côté parc)

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Question du 03/10/2022 : Où sommes-nous ?

Bonsoir à toutes et à tous, IL fait beau, nous nous promenons tranquillement avec des amis. Nous nous retrouvons face à cette belle demeure. Où sommes nous ? et comment se nomme celle ci ? Bonne soirée et à demain. ???????????

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La vache à Ninie

Bonsoir à toutes et à tous, En ce dimanche soir, une petite anecdote amusante, qui risque peu de nous arriver de nos jours ! Elle provient du recueil "En singeant et papotant" de F. Marchand : Tout bon abraysien connaît l'anecdote de la Vache à Colas qui, en son temps (1605) provoqua depuis Bionne un événement national. Mais combien se souviennent de la fantaisie de la vache à Ninie ? ( Ninie était l'affectueux diminutif attribué à une fermière du hameau de Genouilly qui couvait sa nombreuse progéniture). En l'été 1953, la Noiraude ruminait gentiment dans le pré bordant la route de Pithiviers, alors RN 51. Sans raison apparente, notre ruminant qui avait suffisamment ruminé, décida de faire la sieste au beau milieu de la chaussée, malgré la déférente sollicitation de Ninie, puis de l'intervention plus musclée des garçons de la maisonnée. Rien n'y fit : j'y suis, j'y reste, répondit la vache. L'appariteur municipal, seul uniforme communal à cette époque, ne fut pas plus heureux. Fort heureusement, la circulation en ce temps n'était pas celle que nous connaissons aujourd'hui mais l'entêtement de l'animal provoqua quand même un bel embouteillage, (on ne disait pas encore bouchon). Il fallut l'intervention de la Maréchaussée d'Orléans pour remettre de l'ordre dans ce désordre. Dessin : Madeleine Lambert Sources : Livre de François Marchand Bonne soirée à vous, et bon courage pour la semaine à venir. La vache à Ninie (dessin de Madeleine Lambert)

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La mort lente du canal d’Orléans – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, Terminons ce soir, la publication de l'article " La mort lente du canal d'Orléans" paru dans le bulletin municipal de Janvier 1973 :  L'Inexorable déclin. Hélas, l'euphorie des discours prononcés à cette inauguration devait être éphémère. Au fil des années,  l'activité batelière allait rapidement décroître. En 1948, on comptait sur la main les péniches qui remontaient encore jusqu'à Orléans.  Encore n'étaient-elles pas de faible tonnage. Il s'agissait de bateaux berrichons de 27 mètres de longueur et 2m56 de largeur, pouvant transporter 100 tonnes mais qui, par la suite du peu de profondeur d'eau, n'en chargeaient guère que 50. les statistiques traduisent cet inexorable déclin : 22 000 tonnes en 192939 000 tonnes en 193029 000 tonnes en 193114 000 tonnes en 19385 000 tonnes en 1948nul en 1949. Le Canal d'Orléans, en tant que voie de transport, avait cessé d'exister. Des millions avaient été jetés à l'eau. Ce qui devait être une source de prospérité devint vite un gouffre de dépenses improductives. En 1935, M. Gallouédec, Président du Conseil général, constatait avec amertume que le canal d'Orléans ne répondait plus aux espoirs qu'on avait mis en lui. En fait, on avait vu trop petit. En 1922, 6 seulement des 27 écluses étaient au gabarit normal. En 1952, on consacra cependant encore quelques millions à la mise en grande section de certains biefs et à la réfection de trois écluses.  Effort inutile. Le progrès était en marche. Le chemin de fer puis les transports routiers achevaient de ruiner toutes espérances. Soumis pour son alimentation aux caprices des étangs de la forêt d'Orléans, le canal fut déclassé. Il n'est plus aujourd'hui qu'un plan d'eau agrémentant la nature voisine, un appoint touristique et un lieu de loisirs pour de très nombreux pêcheurs. Sources : Bulletin municipal numéro 9 de Janvier 1973 Excellente soirée à vous…

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