Bonsoir, Une courte publication ce soir ! Nous sommes le 18/05/1990, le supplément gratuit aux Nouvelles d'Orléans, Spécial Saint Jean de Braye, vient d'arriver ! Nous nous empressons de lire cet article. Très bonne soirée à vous, bon dimanche, et prenez soin de vous.
Bonsoir,Bravo à Pascal qui a bien identifié la ferme de la Bussière, au 112 rue des Bas Avaux.Ancienne propriété de la famille Lemesle.Aujourd'hui, M. et Mme Olivier Poulard, agriculteurs, y produisent et vendent des fruits : pommes et poires, et des jus de fruits. On y trouve aussi des légumes frais. Comme nous l'avons déjà évoqué dans le passé, Olivier Poulard est aussi distillateur ambulant. Passez une belle soirée, et à demain. CPA - La ferme de la Bussière autrefois - Collection Gérard Creusillet - Photo ChR : la ferme de la Bussière aujourd'hui - Etiquette d'une bouteille de jus de pomme. La ferme de la Bussière aujourd'hui Carte postale ancienne (G. Creusillet)
Bonsoir, Après de nombreuses publications sur les Usines d'Ambert, ce soir, on change de thème ! Par une belle journée ensoleillée, vous vous promenez avec des amis et tout en marchant et en discutant, vous vous éloignez du centre de Saint Jean de Braye. Où êtes vous ? Nous attendons vos réponses, et vous souhaitons une très bonne soirée. à demain. Photo ChR Où êtes vous ?
Bonsoir, Nous sommes toujours ce soir, sur le site des Usines d'Ambert et plus précisément chez Nidec Leroy Somer. Ce spécialiste des alternateurs sur mesure, à Saint-Jean-de-Braye, a plus de cent ans d'existence, et beaucoup de projets. Nidec Leroy Somer est une entreprise industrielle comme il en existe encore beaucoup dans notre région. Cette entreprise, créée en 1919, navigue aujourd’hui sous pavillon japonais, et possède une entité installée à Saint-Jean-de-Braye (Orléans métropole) qui accueille 350 salariés. Spécialiste dans la création d’alternateurs sur mesure pour des projets atypiques, elle est en train de monter en puissance en préparant une augmentation conséquente de ses parts de marché dans le domaine du nucléaire, après plusieurs années de préparation pour s’y installer durablement. Mickael Demion, directeur du site, explique l'activité du site loirétain : "on fabrique des générateurs d'électricité qui permettent de fournir du courant, suivant les applications, on peut être sur des applications comme les moteurs diesel, les serveurs pour internet des data centers, et depuis 2015 les groupes de secours des centrales nucléaires". Une volonté de relocaliser la production en France La crise sanitaire a bousculé le monde industriel qui a pu juger de sa fragilité et Nidec Leroy Somer qui bénéficie d’une volonté d’investissement de la part de son unique actionnaire, se prépare également à en prendre la mesure en annonçant sa volonté de relocaliser une partie de ses composants sur le site de Saint Jean de Braye. Mickael Demion assure qu'il croit "beaucoup au made in France : on doit plus centraliser notre production pour être beaucoup plus indépendants des faits extérieurs, comme on les vit en ce moment. En relocalisant, on devient plus maître des délais et des coûts" Sources : France Bleu Loiret (31 Août 2021) - Plaquette remise au groupe, par Leroy Somer en 2011 Très bonne soirée à toutes et à tous, et à demain Plaquette 2011 - page 1 Plaquette 2011…
Bonsoir,Comme nous le disions hier soir, dans les années 1980, la CGE a été confrontée à de graves difficultés financières et économiques. Ce soir, découvrons son histoire et l'évolution en 10 ans du site des usines d'Ambert, à l'aide de la deuxième partie du dossier paru dans la revue municipale "REGARDS", de février 1997. Excellente soirée à vous, Meilleurs vœux pour la nouvelle année, et à demain Sources : revue municipale "REGARDS", de février 1997. N°11. Page 3 du dossier Page 4 du dossier
Bonsoir, Les fêtes de fin d'année 2021 sont maintenant terminées, l'année 2022 a débuté. Nous espérons que vous avez, toutes et tous, profité de bons moments avec votre famille, grands et petits, ou avec vos amis. Reprenons nos bonnes habitudes dès ce soir ! Nous avons déjà évoqué sous différents aspects , les Ateliers d'Orléans de la Cie Générale d'Electricité (AO), couramment appelés "Usine d'Ambert". Dans les années 1980, la CGE est confrontée à de graves difficultés financières et économiques. Ce soir, découvrons son histoire et l'évolution en 10 ans du site des usines d'Ambert, à l'aide de la première partie du dossier paru dans la revue municipale "REGARDS", de février 1997. à suivre demain avec la seconde partie du dossier. Excellente soirée à vous. Meilleurs voeux. Sources : revue municipale "REGARDS", de février 1997. N°11. Page 1 du dossier Page 2 du dossier