Où sommes-nous ?

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir, une question : Où se trouvait cette demeure aujourd'hui disparue ? quel était son nom ? et ses propriétaires ? etc...... Nous pensons que certains abraysiens s'en souviendront ! Très bonne soirée à vous, ?? ??

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Guy LEJEUNE – Portrait –

Bonsoir à toutes et à tous, Des séniors abraysiens nous racontent les années 60 à Saint Jean de Braye : 3ème portait de notre série estivale dans la République du Centre, aujourd'hui, c’est Guy ! Un grand merci à Guy LEJEUNE et à Chantal Sarradin de la République du Centre. Bon week-end à tous, et à demain. Sources : la république du centre de ce jour Guy LEJEUNE - Portrait

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Strip-Tease à la mairie

Bonsoir à toutes et à tous, Pour vous distraire ce soir, finissons la journée par une anecdote contée par François Marchand dans son recueil d'anecdotes abraysiennes (1991), intitulé "En singeant et papotant". Strip-Tease à la mairie : Une mésaventure arriva à une charmante et virevoltante employée venue dans un service voisin du mien, les bras chargés de documents. Après avoir accompli sa mission, elle s'en retournait , toujours gardienne de ses précieux documents qui la préoccupaient plus que la gêne qu'elle sentait au bas de ses jambes calfeutrées dans de chaudes bottes. Elle pensa qu'elle frôlait quelque carton égaré à ses pieds. Après quelques secondes, elle daigna baisser les yeux pour voir ce qui se passait à ses pieds. Oh stupeur ! Sa jupe mal agrafée avait cessé de remplir sa mission et gisait sur ses métatarses. Les hommes présents en ce lieu, tout en étant un peu étonnés, n'avaient pas daigné baisser les yeux....... Dessin de Odette Wastiaux - 2 photos JJR 1 carte postale ancienne provenant de la collection de Gérard Creusillet : la mairie. Bonne soirée à vous, et à demain. La mairie en 1905 (CPA) La mairie à la Toussaint (JJR) La mairie à la Toussaint (JJR) Dessin de Odette Wastiaux

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Le château du Haut Bonhomme (La Naue ou Lanneau)

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir, allons jusqu'au Château de Lanau (déformation de La Noue) appelé aussi : le Château du Haut-Bonhomme. On trouve des orthographes différentes : La Naue, Lanau, Lanneau, ... Le château du Haut Bonhomme est situé rue des Bons-Enfants, au point culminant de la commune, 129 mètres. Ce nom viendrait du joli point de vue qu'on en a ! Effectivement, la vue sur Orléans, et principalement sur la cathédrale, est surprenante. On sait peu de choses sur ce château, aussi, si vous avez des informations à nous communiquer, nous sommes intéressés. Dans son livre, François Marchand nous raconte : En 1880, incendie chez le jardinier de Lanau. La commune ne possédait pas le téléphone. C'est un coursier qui est venu au triple galop, porteur d'une lettre du châtelain, prévenir le maire. En examinant la carte, on constate que le château de Lanau est à l'extrême Nord de la commune. La Mairie, à l'époque, était au bourg, il fallut au coursier traverser Saint Jean de Braye du Nord au Sud. Le vent fut sage et n'attisa pas le feu, fort heureusement, il n'y eu que peu de dégâts ! Bonne soirée à toutes et à tous, A demain. Carte postale ancienne provenant de la collection de G.Creusillet. Photo JJR et source inconnue Le Haut-Bonhomme CPA Le Haut-Bonhomme aujourd'hui - JJR Le Haut-Bonhomme aujourd'hui (source inconnue)

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La gare

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir : La gare de Saint-Jean de Braye : une conquête difficile des abraysiens ! La Compagnie de chemin de fer de Paris-Orléans (le P.O) ouvre la voie ferrée en 1873. Aucun arrêt n'est alors prévu à Saint-Jean de Braye. Pour prendre le train ou pour charger des marchandises, il fallait se rendre soit à Orléans (environ 4,5 km) soit à la gare de Mardié-Chécy (environ 6,7 km). La municipalité de Saint-Jean de Braye se bat, de la fin des années 60 et pendant toutes les années 70, pour obtenir une gare vers le Clos de l'Arche. Mais la commune voisine de Boigny souhaite également faciliter l'accès au train pour ses habitants. Il faudra donc composer et finalement la gare sera construite au lieu-dit Charbonnière aux vignes. En 1881, dès que les quais sont construits, une station accessible aux voyageurs ouvre. La construction de la gare et de ses bâtiments est achevée en 1883. Le service voyageur ferme le 15 mai 1939, cependant on a pu acheter des billets dans cette gare jusqu'à la fin des années 1990. Un fait plus récent exceptionnel : En 2009 Gilles Paquet-Brenner y tourne des scènes du film «Elle s'appelait Sarah». Depuis quelques années, la gare a été vendue et un cabinet de kinésithérapeutes s'y est installé. Bonne soirée à vous, et à demain. Cartes postales anciennes : collection G.Creusillet - Photos JJR - Affiche du film "Elle s'appelait Sarah" Affiche du film

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Avis de recherche

Bonsoir à toutes et à tous, Le groupe « Mémoires et Patrimoine » du Comité des Sages prépare activement les Journées du Patrimoine de Septembre 2022, sur le thème « De la vigne à l’arboriculture à Saint Jean de Braye ». Promenade commentée, exposition, stèle patrimoniale, table ronde sont prévues. Vous trouverez le programme détaillé dans le prochain numéro de la revue municipale « Regards ». Les membres du groupe ont effectué des recherches aux archives et auprès des arboriculteurs locaux. Néanmoins, ils recherchent encore : - des photographies des vergers abraysiens : entretien des arbres fruitiers, récolte, tri des fruits, mise en caisse, etc…….). - du petit matériel, outillage, et des caisses à fruits. - des revues, documents traitant de l’arboriculture locale. Nous comptons sur votre aide, très bonne soirée. Contact : Jean-Jacques Richer 06 87 13 77 50 ou jjcricher@gmail.com Vous pouvez aussi commenter - Merci Photos Jean Noé (2) Etiquette Jus de pommes - Famille Poulard à la Buissière Photo Jean Noé Photo Jean Noé Etiquette sur bouteille de jus de pommes

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Les cafés de Saint Jean de Braye

Bonsoir à toutes et à tous, Dans son ouvrage "En singeant et papotant", François Marchand nous conte l’histoire de Saint Jean de Braye et certaines anecdotes abraysiennes. Ce soir : Il fallait bien écouler la production vinicole. On sait que l'ancien Saint Jean de Braye était un pays de vignoble - il couvrait 939.63 hectares à la confection du cadastre en 1834 - . En 1850, la population totale était de 1306 âmes et nous comptions 18 cabaretiers, regrattiers, aubergistes pouvant porter le titre de : Débitant de boissons à consommer sur place. Rien que pour le quartier de Saint Loup (entre la rue de l'Orbette et la pointe Saint Loup) fleurissaient 13 estaminets. La population du quartier était de 275 âmes. En 1858, le sieur Arthus demandait l'autorisation d'entrer dans cette confrérie, mais le 26 juillet, le Préfet, après enquête, déclarait : il résulte que le nombre de débits existant au quartier St Loup est plus que suffisant pour les besoins de la population. L'autorisation ne fut pas accordée conformément au décret du 29/12/1851. Dans les années 1880, la population était de 2072 habitants et nous comptions huit nouveaux débitants. Le hameau de Vomimbert en comptait à lui seul 4 supplémentaires. Il est vrai qu'à l'époque Vomimbert était un centre commercial où se tenait chaque année, en août, une assemblée très suivie. Vint ensuite la période 1908/1911, époque de la construction du canal où l'on vit éclore dix nouveaux débits entre les Longues Allées et le Port St Loup. Un estaminet exploité par Louis Brioni se tenait même sur la drague "La Légère" ancrée vers le Bourg. En 1988, nous sommes plus sobres puisque nous ne possédons plus que 13 débits à grande licence (avec les petites licences, le total est de 18). La Police des cafés et débits de boissons a été créée par…

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La rue de l’Orbette

Bonsoir à toutes et à tous, Et si ce soir, nous allions faire un tour : rue de l'Orbette ! La rue de l’Orbette délimite les communes d’Orléans et de Saint Jean de Braye, le côté pair se trouve sur Saint Jean de Braye, et le côté impair sur Orléans. Dans cette rue se trouvait encore en 1968 : O’CAF, spécialité du Comptoir Général des Cafés. Louis Petit, négociant et torréfacteur, maire de Saint Jean de Braye de 1947 à 1963, y était installé au numéro 18. A partir de 1986, derrière un large portail, une grande maison, entourée d’un parc accueillait des sœurs de la Congrégation des filles Notre Dame du Sacré-cœur, fondée en 1882 et implantée dans les années 30 sur Orléans. En avril 1991, elles étaient quatre à vivre au 16 rue de l’Orbette. Ces religieuses œuvraient surtout à l’Est d’Orléans. Sœur Lucie, responsable de la communauté, était infirmière à la clinique des Buissonnets située à Orléans, au croisement de la rue du Faubourg de Bourgogne et de la rue de l’Orbette. Elle faisait partie d’une équipe. Une autre, au retour d’une mission au Cameroun, était très attentive aux défavorisés du quartier de l’Argonne et rendait visite à quelques femmes maghrébines en difficulté de communication. Les « métiers » exercés étaient divers et les expériences complémentaires. Suite au transfert à Olivet de la SARL « Les Buissonnets » et à d’importants travaux sur le site de l’ancienne clinique en 2009/2010, la résidence Saint Joseph a ouvert ses portes au 3 rue de l’Orbette. Gérée par le Groupe Orpéa, la maison de retraite médicalisée « Résidence Saint Joseph » est un EHPAD (établissement d‘hébergement pour personnes âgées dépendantes) privé de 96 places. Cet EHPAD dispose d‘une unité Alzheimer de 12 places et propose un hébergement temporaire de 6 places. Sources : Anciens bulletins municipaux…

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Annette Guitton – Portrait

Bonsoir à toutes et à tous, Des séniors abraysiens nous racontent les années 60 à Saint Jean de Braye : 2ème portait de notre série estivale dans la République du Centre, c'est Annette, "Miss vendanges" des années 1959 et 1960 ! Un grand merci à Annette Guitton (née Leclerc) et à Chantal Sarradin de la République du Centre. Bon week-end à tous, et à demain. Sources : la république du centre de ce jour La REP du 30 Juillet 2022

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Le Bourg

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir, une promenade au Vieux Bourg : Le Bourg occupe le début de la rue Jeanne d’Arc, la place de l’Eglise, et le début de la Promenade du Front de Loire. Avant septembre 1893, le Bourg était le siège administratif de la commune. On y trouvait la Mairie, l’Ecole, l’Eglise, et une auberge qui s’appela successivement « L’avenir » puis « la Brèche ». Ce fut aussi un port lorsque la Loire était navigable et pendant la période d’exploitation du Canal. Monsieur Paul Brouard, maire de la commune de mai 1904 à mai 1908, avait son domicile au « Vieux Bourg » au 21 de la rue Jeanne D’arc. L’église a désormais presque neuf siècles d’existence, et elle a subi au cours des temps, maintes améliorations et réfections. Durant le printemps 2006, le ravalement de la façade a été entièrement refait, et donne fière allure à l’édifice. L’architecture intérieure est sobre et élégante. Elle est composée d’une nef principale et de deux nefs latérales. L’Eglise est sous le vocable de Saint Jean-Baptiste, Patron des Moines ; en effet, avant la Révolution, la paroisse de Saint Jean de Braye dépendait du Prieuré de Semoy. La Mairie-Ecole, jouxtant l’église, a été érigée en 1843 et utilisée ainsi jusqu’en 1893, date à laquelle eut lieu l’ouverture de la nouvelle mairie et de l’école de garçons, rue de la Vallée (désormais appelée rue de la Mairie). Loué jusqu’en 1927, puis vendu, l’immeuble est racheté par la Ville en 1956. Remis en location jusqu’en 1969, il servira ensuite à l’Ecole de Musique, de 1976 à 2005. En 1866, on recensait seulement soixante habitants au Bourg, sur 1648 répartis dans toute la commune. Des maisons de mariniers côtoyaient de belles demeures, telles « les Tamaris » et « Braye Val » ; cette dernière, appelée à l’origine « Mes délices », date du XVIIIème siècle. On pouvait autrefois y…

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