Usines d’Ambert – Brochure – 8 –

Bonsoir, Nos récentes publications sur les Usines d'Ambert vous ont fait découvrir :- la crèche, - les colonies, les camps de vacances, - l'école d'apprentissage, - le logement du personnel, - les différents ateliers,  - la production ......................... Ce soir, vous allez pouvoir découvrir les dernières images de la brochure et plus particulièrement : - le réfectoire,  - le jardin d'enfants où les petits pouvaient jouer dans un cadre verdoyant,  - et encore une fois,  la célèbre photo de la sortie des ateliers.  En ce 23 décembre, nous vous souhaitons à toutes et à tous de belles fêtes de Noël, profitez de vos enfants et petits-enfants.Prenez soin de vous et de ceux qui vous sont chers,  à bientôt,  (sans doute dans quelques jours !)Source : brochure des AO

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Usines d’Ambert – Brochure – 7 –

Bonsoir, Terminons ce soir la visite des ateliers d'Orléans (AO) par la fonderie et le laboratoire. N'hésitez pas à commenter si vous reconnaissez les ouvriers ou ouvrières, ou si vous avez des informations à nous communiquer. Passez une bonne soirée, et à demain. Sources : brochure des AO Fonderie 1 Fonderie 2 Laboratoire 1 Laboratoire 2

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Usines d’Ambert – Brochure – 6 –

Bonsoir,Après les différents ateliers de production des AO (Ateliers d'Orléans), nous voici arrivés aux "Produits finis" : - groupe convertisseur à tension variable,  - moteur synchrone, - alternateur, - petits moteurs, - gros moteurs, - palans électriques,  - moto-compresseur,  - etc.... Demain soir, nous vous présenterons la fonderie et le laboratoire. Bonne soirée à vous. Sources : Brochure des AO

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Usines d’Ambert – Brochure – 5 –

Bonsoir, Poursuivons ce soir, notre visite des AO (Ateliers d'Orléans), par le Montage et les Essais. Sur la plate-forme d'essais : - un groupe convertisseur à tension et fréquence variables, - un gros moteur sur dynamo-frein, - un alternateur, - des machines moyennes en continu et alternatif - et des moteurs asynchrones. Très bonne soirée à vous, et à demain

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Usines d’Ambert – Brochure – 4 –

Bonsoir,Poursuivons notre visite des AO (Ateliers d'Orléans) par le Bobinage. On y voit des femmes au travail : les bobineuses. Très bonne soirée à vous, et à demain Sources : brochure des AO

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Usines d’Ambert – Brochure – 3 –

Bonsoir, Continuons la visite ! Après l'atelier - Usinage - des ateliers d'Orléans (AO), voici : l'outillage, le contrôle, et le découpage. Très bonne soirée à vous, et à demain. Sources : brochure des AO

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Usines d’Ambert – Brochure – 2 –

Bonsoir, Ils ont travaillé sur le site des usines d'Ambert, dans l'atelier "Usinage" des AO (Ateliers d'Orléans). Les reconnaissez-vous ? N'hésitez pas à commenter. Merci et bonne soirée à vous.

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Usines d’Ambert – Brochure – 1

Bonsoir à toutes et à tous,Les Ateliers d'Orléans (AO) de la Compagnie Générale d'Electricité ont pensé à l'époque qu'il serait agréable à leurs clients d'emporter un souvenir de leur visite. A ceux qui n'ont pas connu leurs installations, nous souhaitons que ces photographies apportent un témoignage de l'importance de leurs moyens de production et de contrôle. Nous vous souhaitons une bonne soirée, et à demain pour la suite. Sources : brochure des Ateliers d'Orléans (AO). Couverture de la brochure des AO Le site des AO Les AO - qui sont-ils ? Les fabrications

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Usines d’Ambert – Témoignages – 3 –

Bonsoir, Dernier témoignage ce soir sur les Usines d'Ambert : Yvonne, abraysienne de 68 ans en 2011 nous raconte : Nous étions jeunes mariés et nous habitions dans l’Est, près de Sarreguemines. Mon mari et mon beau frère souhaitaient se rapprocher de Saumur,  là où leurs parents étaient installés. Après réflexion et discussion, nous décidâmes un beau jour avec ma belle sœur et mon beau frère de quitter la région et d’y aller !  Après tout, nous étions jeunes ! Les hommes achetèrent le journal et regardèrent les petites annonces : eh oui, il fallait trouver du travail ! Michelin à Tours cherchait des ouvriers. Ils partirent tous les deux et  se rendirent sur place. Ils eurent l’un comme l’autre une promesse d’embauche. Ils s’arrêtèrent dans un bar pour prendre un café, et consultèrent à nouveau les petites annonces dans la presse : UNELEC à Orléans recrutait aussi des ouvriers. Alors, avant de prendre le chemin du retour, ils passèrent à Orléans pour se présenter. Ils eurent tous les deux une seconde promesse d’embauche. En 1966, il était plus facile de trouver du travail qu’aujourd’hui ! Ils sont donc rentrés à la maison, en nous disant : « Nous sommes embauchés deux fois tous les deux ». Quelques mois après, nous nous installions donc dans la région orléanaise. J’avais quitté mon travail d’aide maternelle  dans les écoles et je m’occupais de mon premier bébé. André, mon mari et son frère avaient choisi UNELEC. Nous n’avons pas eu besoin de chercher un logement : un appartement était mis à notre disposition Cité Saint Loup à Saint Jean de Braye,  en location. Nous y sommes restés à peu près 8 ans et ensuite nous avons pu avoir une maison rue d’Ambert que nous avons d’abord louée puis achetée dans les années 80. A partir du moment où le salaire était versé par virement à la banque (vers 1970),…

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Usines d’Ambert – Témoignages – 2 –

Bonsoir, Ils ont travaillé aux Usines d'Ambert, ou Ils en étaient proches, Ils témoignent : René PELLETIER - 89 ans en 2011 : Je suis entré aux usines d’Ambert en 1939. J’avais pour copains  Max et Roland, les deux fils de Marcel GARCIN qui était alors chef du personnel aux usines. Ça aide un peu … Lorsqu’une personne devait être embauchée aux usines d’Ambert, une enquête de moralité était entreprise par le service du personnel. Je suis entré le premier jour ouvrable après le 14 juillet 1939 et j’ai été très surpris lors de ma première paye de toucher le mois entier. C’était une bonne usine. On touchait le treizième mois. Il y avait des avantages sociaux ; un jour par semaine, un docteur était à disposition dans l’usine, le Docteur ALAIN, il y avait aussi une infirmière à temps plein, une crèche, un bon centre d’apprentissage ;  des groupes de jeunes partaient en camp dans les Alpes, les enfants du personnel pouvaient aller en colonies de vacances dans des centres appartenant à la CGE. On organisait des rencontres sportives. Tout ceci se ressentait dans l’ambiance de travail au sein de l’entreprise ! J’ai travaillé jusqu’en 1970 à la fonderie et j’ai été sollicité pour prendre le poste de responsable des achats. J’ai accepté ce poste, fort heureusement ! car les fonderies ont fermé un peu plus tard. J’ai quitté l’usine en 1979,  après quarante années passées aux usines d’Ambert si on y enlève deux années de 43 à 45 passées en déportation à Mauthausen. Ce sont des tristes souvenirs que j’ai racontés dans un cahier. Ces pages sont ma participation au devoir de mémoire de cette période. J’ai eu la chance d’en revenir, mon souhait est bien sûr que personne ne revive de telles horreurs. ------------------ Roberte, abraysienne - 87 ans en 2011 : Mon père était gardien, de jour comme…

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