Georges JOUMAS, historien et abraysien

Bonjour à toutes et à tous, Cette publication vous permettra de mieux connaître Georges JOUMAS. A bientôt Magazine REGARDS de Novembre 2022 Georges Joumas en dédicace - Leclerc Fleury les Aubrais G. JOUMAS présente son livre - Plaine des Armenault Résumé du livre

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M. Francis Oliver, instituteur à l’école Jean Zay

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à notre publication du 4 janvier 2023 concernant les souvenirs de M. Claude Bourdier et les journaux scolaires des années 1947/48/49, Madame Chantal Sarradin, correspondante de la République du Centre pour St Jean de Braye, a rendu visite à M. Francis Olivier, instituteur retraité, qui lui a exposé la méthode Freinet. Puis, quelque temps après, un après-midi, nous avons avec elle rencontré Messieurs Yves Dauboin et Guy Germain, anciens élèves. Un bon moment ! Un article a été écrit par la République du Centre et publié aujourd'hui : dimanche 29 janvier 2023. Vous pouvez le lire ci-dessous. Bonne soirée à vous et à demain. Photo : La classe de M. Oliver dans les années 1960 à SJDB La république du centre du 29 janvier 2023 La classe de M. Oliver dans les années 60

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Jean et Alice Pelletier – Un couple dans la Résistance et la Déportation – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à nos deux dernières publications, concernant Jean et Alice Pelletier, résistants, nous pensons que le court texte du monument vous incite à en savoir plus sur leur destin.  Ce sera l'objet de la conférence du 4 février prochain,  donnée par Georges Joumas, abraysien, docteur en histoire contemporaine et de son livre sorti dernièrement aux Éditions Corsaire et intitulé :  Jean et Alice Pelletier, un couple dans la Résistance et la Déportation. Nous vous attendons nombreux ! Bonne soirée et à demain INVITATION Couverture du livre

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Jean et Alice Pelletier – Un couple dans la Résistance et la Déportation – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous,Suite aux trois questions posées hier soir, voici les réponses : - cette maison était située dans le parc des "Armenault" - elle était nommée la villa Marguerite - "Ker Marguerite" - cette maison appartenait aux parents de Jean Pelletier, il y venait souvent, seul ou en famille. A 100 mètres environ du monument qui matérialise le point septentrional du cours de la Loire, on voit aujourd'hui, deux pans de murs perpendiculaires, vestiges de l'ancienne maison détruite. Deux plaques y sont scellées "Ker Marguerite" et celle dont le libellé suit : En ce lieu, ont vécu : - Jean Pelletier (1903-1945) disparu au camp de Nordhausen - Alice Pelletier (1902-1994) libérée d'Auschwitz par l'armée soviétique. Résistants, ils avaient été déportés en juin 1942.Nous n'avons pas le droit de les oublier. Toutes celles et ceux qui ont résisté nous disent, au-delà du temps, qu'aucune force ne doit se croire libre de nous soumettre. à suivre..... Bonne soirée et à demain Photos JJR : les deux pans de mur aujourd'hui

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M. André GUILBON – 1er maire-adjoint

Bonsoir à toutes et à tous,Vous ne le savez peut-être pas ! Monsieur André Guilbon a été le 1er Maire-adjoint en juin 1963.La famille Guilbon est une des familles les plus anciennes de Saint Jean de Braye.16 juin 1968 :On apprenait avec émotion et tristesse le décès de M. André Guilbon, ancien Maire adjoint.Né à Saint Jean de Braye, le 4 juillet 1888, M. André Guilbon exerça dans notre ville jusqu'à ces dernières années, avec une compétence unanimement reconnue, la profession d'arboriculteur-vigneron. Tous ceux qui ont eu le privilège de l'approcher conserveront de M. André GUILBON le souvenir d'un homme de bon sens, réaliste, toujours affable et d'une parfaite loyauté. Ses concitoyens consacrèrent ses remarquables qualités en l'envoyant siéger au Conseil Municipal lors du scrutin du 26 avril 1953 en remplacement de M. Georges Boulard, son beau-père, décédé en février dernier. Réélu en tête de tous les candidats lors des élections du 8 mars 1959, M. Guilbon était désigné le 15 mars 1959 pour occuper le poste de deuxième adjoint. Quelques mois plus tard, le 28 juillet 1959, il accédait à celui de premier adjoint. C'est en cette qualité qu'il devait assumer l'intérim de la charge de Maire au décès de M. Petit, auquel l'unissaient des liens d'amitié, jusqu'à l'élection du nouveau maire, poste qu'il avait alors décliné, en dépit des sollicitations pressantes dont il avait été l'objet de la part de ses collègues.Le 29 juin 1963, il devait être le premier de nos édiles à recevoir le titre de :  Maire-adjointen témoignage de reconnaissance pour le dévouement dont il n'avait cessé de faire preuve dans l'exercice de ses fonctions.M. Guilbon n'avait pas sollicité en mars 1965 le renouvellement de son mandat pour raison de santé.Ses obsèques ont été célébrées en l'église de Saint Jean de Braye. La population était largement représentée et l'église était trop petite…

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Louis-Joseph SOULAS – 4 – l’avenue

Bonsoir à toutes et à tous, Vous avez découvert dernièrement, Louis Joseph Soulas et quelques unes de ses œuvres. Les gravures et les eaux-fortes de LJ Soulas - paysages beaucerons, La Loire, paysages solognots - l’ont rendu célèbre bien au-delà des frontières régionales. A Saint Jean de Braye, c’est le 17 décembre 1958, que le Conseil Municipal a donné son nom à : l’Avenue Louis-Joseph Soulas. Elle commence avenue Charles Péguy et finit avenue Pierre et Marie Curie. Ces quelques photos ou cartes postales vous permettront de parcourir l’avenue LJ Soulas autrefois : 1 - La villa Saint Martin 2 - La mère poule (commerce) 3 - La première poste 4 - L’ancienne boulangerie 5 - Le Narval 6 - La pancarte de rue : LJ Soulas à SJDB Très bonne soirée à vous, et à demain CPA : collection G. Creusillet - Photos JJR La villa St Martin - 1916 La mère poule (épicerie) L'ancienne poste Ancienne boulangerie Le café de la Gare (Le Narval aujourd'hui fermé) Plaque de rue

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Louis-Joseph SOULAS – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, Terminons ce soir avec le récit sur Louis-Joseph Soulas. (Récit provenant du catalogue édité dans le cadre de l’exposition « Louis-Joseph SOULAS et la Loire » présentée au Musée de la Marine de Loire de Châteauneuf-sur-Loire du 23/10/2009 au 31/01/2010). En 1939, LJ Soulas est nommé directeur de l’Ecole Régionale des Beaux-Arts d’Orléans, il enseigne la gravure sur bois, sur cuivre, le croquis et le dessin d’art. Il est également nommé conservateur-adjoint du cabinet des estampes du musée des Beaux-Arts d’Orléans, et président de la Commission permanente des sites du loiret. Mobilisé en Alsace, il continue pourtant à graver, entre autres une série d’affiches pour l’Armée. 1940 : Il est fait prisonnier et emmené en Poméranie, affecté à des travaux de la terre. Octobre 1941 : Rapatrié pour cause de maladie, il découvre Orléans en ruines. 1942 : Il participe à la création de la Société des Amis des musées d’Orléans. Ses œuvres entrent dans les musées de Strasbourg, d’Epinal, de Philadelphie. 1943/1954 : Il est nommé président de la Société des Artistes Orléanais. Il poursuit inlassablement son travail, expose et illustre de nombreux ouvrages. 1946, 1948 et 1952 : Il est membre du Jury pour le prix de Rome de gravure. 1950 : Maurice Genevoix remet à Louis-Joseph Soulas la croix de Chevalier de la Légion d’Honneur. Il décède le vendredi 26 mars 1954 à Paris. Gravure : Le pêcheur de Loire (1951) Le pêcheur de Loire- 1951 -

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Louis-Joseph SOULAS – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Continuez à découvrir Louis-Joseph Soulas au travers de ce récit provenant du catalogue édité dans le cadre de l’exposition « Louis-Joseph SOULAS et la Loire » présentée au Musée de la Marine de Loire de Châteauneuf-sur-Loire du 23/10/2009 au 31/01/2010. En mai 1933, Louis-Joseph Soulas épouse Simone Domergues, étudiante à l’école des Beaux-Arts de Paris. Six enfants naîtront de leur union de 1934 à 1948. A partir de 1933, il expose au Salon des Indépendants. En 1934, il obtient le Grand prix du ministère des Affaires étrangères à l’Exposition Internationale de Varsovie. Ses œuvres entrent dans les collections publiques : Musées du Luxembourg, de Boston, d’Honolulu, du Havre et à la Chalcographie du Louvre à Paris. Il participe en 1935 à sa première exposition d’ensemble à la Galerie Guiot où il présente environ 70 pièces, bois et burins. Il participe en 1936 à une exposition de groupe à la Biennale de Venise. Il est désigné comme membre du Jury Blumenthal pour l’attribution de la bourse en gravure, et membre de la Commission administrative de l’Ecole des Beaux-Arts d’Orléans. Lors de l’exposition internationale de Paris en 1937, il obtient le premier prix international de la gravure. Puis, en 1938, ses œuvres entrent dans les musées de Belfort, de Collioure, de Mulhouse, de Pau, de Périgueux, de Saint-Etienne de la Haye, au British Museum à Londres, et au musée des Beaux-Arts d’Orléans. Il représente la gravure française à la Biennale de Venise, et reçoit le prix de la Jeune Gravure. À suivre….. Bonne soirée et à demain pour la fin. Chécy - Les vignes

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Louis-Joseph SOULAS – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous, Vous avez raison, l’œuvre publiée hier soir (Paysage à Saint Jean de Braye - Burin) était bien de Louis-Joseph Soulas ! Mais qui était il ? Découvrez ses jeunes années (1905-1925) au travers de ce récit prélevé dans le catalogue édité dans le cadre de l’exposition « Louis-Joseph SOULAS et la Loire » présentée au Musée de la Marine de Loire de Châteauneuf-sur-Loire du 23/10/2009 au 31/01/2010. Louis-Joseph Soulas est né le 1er septembre 1905 à Orléans, au 74 rue Saint Marceau. Aîné de cinq enfants, il passe son enfance jusqu’à 12 ans à Lignerolles (commune de Coinces) dans la ferme familiale de la plaine de Beauce dont les étendues, à l’époque encore entrecoupées de quelques haies et de bosquets, vont marquer son esprit : un cadre dépouillé, piqueté de meules de blé en attente de battage, ou de paille destinée au bétail, des tracés linéaires qui s’étirent à perte de vue et dont les courbes varient au gré des saisons, le tout sous un ciel sans cesse démesuré. Ce décor trouvera son reflet dans toute une part de l’œuvre accomplie. Son père, très perspicace, a compris les dons exceptionnels de Louis-Joseph Soulas pour le dessin. Aidé de son instituteur, l’enfant reçoit alors les cours de dessin de la prestigieuse manufacture des Gobelins. De 1918 à 1922, il apprend la gravure sur bois à l’Ecole Estienne (Paris), avec Léon Jouenne, et a également comme professeurs Henri de Waroquier, Robert Bonfils, et Mathurin Méheut. En 1923, il obtient ses premières commandes de bois gravés pour des romans des Éditions Mornay, et expose à la Société Nationale à partir de 1923. En 1925/1926, il effectue son service militaire au Service Géographique de l’Armée, où il rencontre André Jacquemin qui l’initie à l’eau-forte. En 1928 : Membre fondateur de la Jeune Gravure Contemporaine.…

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Anecdote de François Marchand

Bonsoir à toutes et à tous, Dans son recueil d'anecdotes abraysiennes, François Marchand nous raconte : Un certain jour de Juin, dans la dernière année de son mandat, Monsieur Bernon devait célébrer un mariage à 11 heures.  Onze heures trente arrivent, point de mariés....... à quarante cinq, toujours personne....  à midi, nous fermons la mairie, et en donnant le dernier tour de clef, Monsieur Bernon aperçoit près de la salle des fêtes, courant et gesticulant, le marié suivit de sa future, des parents et amis, tous plus essoufflés les uns que les autres. Le premier magistrat ne fut pas ému de leurs mines déconfites et tint la porte fermée.  La noce se fit quand même, mais les tourtereaux ne furent mariés qu'un peu plus tard.  --------------- Emile BERNON a été Maire de février 1937 à octobre 1947. De nos jours, les mariés sont-ils toujours à l'heure à la mairie, le jour de leur mariage ? Nous ne savons pas !  mais que se passerait-il s'ils trouvaient porte close ! Excellente soirée à vous, et à lundi soir. CPA G. Creusillet : la mairie Portrait de M. Bernon : Ville de St Jean de Braye M. BERNON La mairie-école

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