Usines d’Ambert – L’école d’apprentissage

Bonsoir,Suite à notre publication d'hier soir, Pascal et  Arnaud ont identifié l'école d’apprentissage des Usines d'Ambert. BRAVO à eux ! Une bonne école d'apprentissage d'après les témoignages des anciens ouvriers des Usines d'Ambert ! Les jeunes pouvaient y entrer à 14 ans pour une formation de trois années ; ils en ressortaient avec deux CAP (tourneur, fraiseur, ou ajusteur) ; ils étaient tous embauchés par les usines mais avaient un engagement avec celles-ci pour une ou deux années. Créée dans les années 40, cette école d’apprentissage ferma ses portes en 1954, quand l’Education Nationale ouvrit les établissements d’enseignement professionnel.Les cours théoriques étaient donnés dans des salles de cours sur le site des usines, mais ne dispensaient pas les apprentis des Cours professionnels ; quant à la pratique, elle se faisait dans un atelier.A chaque rentrée, quinze jeunes, sélectionnés avec beaucoup de sérieux, intégraient l’école d’apprentissage. Ainsi, quarante-cinq apprentis se trouvaient continuellement en formation, toutes promotions confondues. La réussite aux examens : 100%. Les relevés de notes étaient transmis tous les trois mois : blâme ou renvoi, en fonction de la moyenne générale, pour les apprentis ayant obtenu une moyenne inférieure à 12. ----------2 photos Ecole d'apprentissage : Source inconnue -  Photo JJR : plan du site des usines d'Ambert Très bonne soirée et bon dimanche à vous Plan du site des usines d'Ambert Ecole d'apprentissage Ecole d'apprentissage

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Compagnie Générale de Productique (CGP)

Bonsoir, Ce soir, une entreprise abraysienne : En 1991, la Compagnie Générale de Productique (CGP) Filiale du groupe industriel franco-anglais GEC-ALSTHOM : La Compagnie générale de productique pèse quatre cents millions de chiffre d’affaires dont 30 % à l’exportation ; une dimension européenne pour cette entreprise spécialisée dans la manutention et le stockage automatisé. La mutation technologique. L’entreprise sait évoluer. Dans les locaux de l’ancienne usine d’armement du début du siècle, elle a d’abord fabriqué des rayonnages industriels. En 1965, les premiers transtockeurs (appareils de stockage automatique) sont construits par la CGMS devenue en 1981 CGP. Activité intégrée à la division robotique et atériaux du groupe GEC-ALSTHOM, le métier de la CGP repose sur un schéma précis : analyser les besoins du client, proposer une solution adaptée, la vérifier, grâce à une simulation par ordinateur, réaliser les équipements, les mettre en œuvre et en assurer le suivi (technique, formation, assistance à l’exploitation). Désormais la matière grise est devenue prépondérante au sein de la société. Elle complète la capacité de production qui compte désormais un quart des effectifs sur les quatre cents quarante salariés. La CGP utilise des techniques très pointues, qui lui permettent d’intégrer les automatismes de ses produits à base de microprocesseurs, ou d’automates programmables et d’assurer le pilotage automatique de ces ensembles. Une organisation renouvelée 30 ans d’expérience dans la manutention et le stockage automatisé permettent à la CGP d’occuper une place prépondérante sur le marché. 70 % du parc français des transtockeurs a été vendu par la CGP, ce qui autorise l’optimisme, le marché étant en plein essor. Récemment, la société Climax Automatisation de Blois a rejoint la CGP, complétant grâce à sa spécialité, la manutention robotisée, l’offre de la CGP : manutention aérienne, manutention au sol, stockage automatisé, services. Spécialiste européen de ce marché la CGP présente une fiabilité totale et les meilleures références. Des clients de renom Nissa,…

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Industrie et Commerce à Saint Jean de Braye en 1964

Bonsoir, Aujourd'hui, nous allons vous parler de l'Industrie et du Commerce à Saint Jean de Braye, en 1964 : Une usine importante : Les Ateliers de la Compagnie Générale d’Electricité ou Usine d’Ambert. Créés en 1917 en vue des fabrications de guerre, ces Etablissements produisent maintenant des appareils de levage, des génératrices et des moteurs électriques ; ils comportent une fonderie de fonte et une fonderie de bronzes spéciaux. L’effectif - ouvriers, employés et cadres – est d’environ 1300. La moyenne industrie est représentée par la Fonderie de cloches BOLLEE, maison plus que centenaire qui fournit des carillons d’église dans les contrées les plus lointaines. Les Constructions Métalliques GRANGER, les Etablissements RACAUD, Matériel agricole : fers à bœufs, charrues, herses ; la distillerie SEDOR, les Etablissements DUPRE, fabrique d’appareils à décoller le papier ; BILLIARD industrie mécanique ; Société FRANCIAFLEX : stores en plastique ; les Laboratoires ORLABO, la Serrure moderne ; la Société MATFOUR, construction matériel et fours pour boulangeries. Le commerce de gros porte sur les essences (dépôt Shell Berre), les vins, les fruits, etc. Une brûlerie de cafés, le commerce et la réparation des machines agricoles, les Entreprises du bâtiment, ajoutent à cela leur part d’activités. Nombreux sont les artisans dont l’activité déborde souvent du cadre communal. Une zone industrielle en cours d’aménagement permettra à l’industrie de se développer et de donner une plus grande activité à Saint Jean de Braye. Sources : Bulletin municipal numéro 1 de décembre 1964 - Photos JJR : Usines d'Ambert en 2011, avant démolition - Photos en noir et blanc : Source inconnue. Très bonne soirée à vous. Usines d'Ambert avant la démolition Usines d'Ambert avant la démolition Usines d'Ambert Les fonderies des Usines d'Ambert

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Paul Lemaire – CNC et SHOL – 7 –

Bonsoir à toutes et à tous, Comme nous vous l’annoncions récemment, un partenariat de longue date existe entre le Conservatoire du Chrysanthème (CNC) et la Société d’Horticulture d’Orléans et du Loiret (SHOL- section abraysienne). Souvenirs, souvenirs ! C’est ainsi qu’en Octobre 2012, les enfants du Jardin des écoliers, encadrés par les bénévoles de la SHOL, se sont rendus au centre technique municipal (CTM) afin de visiter le conservatoire des chrysanthèmes, avec leurs parents et les bénévoles du jardin. Madame Marie-Hélène Durand, responsable du service des espaces verts les a guidés, a donné toutes les explications sur la culture de la « fleur d’or »et a répondu aux questions posées. Par la suite, en mai 2013, les membres du conservatoire sont venus travailler avec les enfants et ont créé tous ensemble un joli parterre de chrysanthèmes dans le jardin des écoliers. Ce parterre, visible de la rue, a été un beau travail intergénérationnel et une belle vitrine pour le CNC. Désormais, depuis quelques années, en lieu et place du Jardin des écoliers, se trouvent « les Jardins intergénérationnels partagés des Longues Allées », animés par les bénévoles de la SHOL. Très bonne soirée à vous, et à demain. Sources : La république du centre - archives personnelles - photos ChR La république du centre La république du centre Plantation des chrysanthèmes Les membres du CNC et les enfants du jardin des écoliers

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SHOL (Société d’horticulture d’Orléans et du Loiret) – Section de Saint Jean de Braye

Bonsoir à toutes et à tous, Parlons ce soir, de la SHOL abraysienne : Une société d’horticulture pour entretenir son jardin : tel est le titre de l’article paru dans la République du Centre du samedi 3 et dimanche 4 Octobre 1992. Il était une fois quelques personnes de Saint Jean de Braye, des professionnels de la terre, qui pressaient Bernard Denis de créer une section abraysienne de la Société d’Horticulture. Jean Noé et André Pouet semblaient y tenir beaucoup. Une autre personne appuyait leur demande : Monsieur Le Forestier, Président Départemental de la SHOL ( Société d’Horticulture d’Orléans et du Loiret). Un soir de janvier 1991, une réunion amicale regroupa ces personnes chez Bernard Denis et à partir de cette date, tout s’accéléra. Le 16 mars 1991 se tenait la première assemblée générale. La 22ème section dans le Loiret de la SHOL venait de naître. « C’était une réunion de quelques personnes qui voulaient apprendre à entretenir leur jardin et fleurir leur maison » se souvient Jacqueline Dagues , qui, depuis est devenue la secrétaire omniprésente de la section de Saint Jean de Braye. Il faut dire que, dès sa première apparition, la municipalité n’a pas ménagé ses appuis et ses encouragements à la toute jeune section, et que James Desbrosses, directeur technique des jardins de la ville, apporte tous les éléments nécessaires à une meilleure connaissance, alors que Danielle Jacquelin, toujours apprenant du nouveau au centre de la Mouillère, est devenue une spécialiste de l’art floral, et n’hésite pas à partager son savoir avec tous les adhérents de la SHOL. Soixante adhérents composent la section abraysienne, mais le bureau directeur souhaiterait atteindre rapidement les cent membres pour avoir la possibilité d’aller encore plus loin. « Nos adhérents veulent tout apprendre, depuis le coup de sécateur jusqu’à la réalisation d’un jardin et la conservation des plantes. Nous sommes à l’écoute…

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Les 100 ans du Monument aux morts – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, Article paru dans l'édition de la République du Centre aujourd'hui : Lisez donc ! 100 ans jour pour jour pour le monument aux morts de Saint Jean de Braye. La république du centre du 13 novembre 2021 Bonne soirée à vous, et bon dimanche.

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Les 100 ans du Monument aux morts – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous,Revenons ce soir sur les 100 ans du Monument aux morts de notre ville, inauguré en 1921,  le 13 novembre par Louis Gallouédec, maire. Prenez le temps de lire ces deux pages provenant du catalogue de l'exposition "14-18 Saint Jean de Braye dans la Grande Guerre", vous y apprendrez comment ce monument a été financé, son coût, et le déroulement de son inauguration.  Page 1 Page 2 Nous joignons à cette publication deux photos (ChR) : - Madame le maire pendant la cérémonie du 11/11/2021 et les musiciens d'AML Madame le Maire et les musiciens d'AML - le monument sur la place,  au milieu des chrysanthèmes aujourd'hui Le monument entouré de chrysanthèmes aujourd'hui Bonne soirée et à demain, 

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Les 100 ans du Monument aux morts – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous,Le saviez-vous ? Le 11 novembre devient férié à la suite d'une loi du 24 octobre 1922. C'est ce qui explique qu'en 1921, le Monument aux morts de Saint Jean de Braye a été inauguré le 13 novembre 1921 (et non le 11/11) par le maire Louis Gallouédec. Cent ans séparent ces deux photos : 2021 - Madame Vanessa Slimani, maire Photos ChR : 2021 : Vanessa Slimani, maire, lors de la cérémonie de commémoration, ce matin, Place de Gaulle 1921 - Monsieur Louis Gallouédec, maire 1921 : Louis Gallouédec, maire, lors de l'inauguration du monument aux morts. à suivre ............Très bonne soirée et à demain 

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La grille aux piques – Poème –

La grille aux piques « Je suis la grille, de la mairie, (m'a dit la grille de la mairie), et je fus étonnée, me mirant l'autre jour, de voir sur mon chapeau implantées, très hargneuses, des flèches et des piques droites et en trident ; n'est-ce pas, me disais-je Là, la « Maison du Peuple » ? Pourquoi m'a-t-on coiffée d'aussi peu accueillante et méchante parure ? A-t-on voulu par là lorsque le peuple est dans l'empêcher de sortir ou s'il se trouve hors l'y empêcher d'entrer ? » « Ah, non, vraiment, vraiment que l'Homme est donc bizarre. » Un poète abraysien (1948) Sources : Bulletin municipal - année 1977 La grille de la mairie

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