Saint Jean de Braye – Monographie de Charles Pontoise – 4 –

Bonsoir à toutes et à tous, Continuons ce soir avec la monographie de M. Charles Pontoise, instituteur à St Jean de Braye, de 1892 à 1908 : pages 7 (partie) - 8 - 9 (partie) traitant des habitations Bonne lecture et à demain. CPA Collection G. Creusillet

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Saint Jean de Braye – Monographie de Charles Pontoire – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, On continue ce soir avec la monographie de M. Charles Pontoise, instituteur à St Jean de Braye, de 1892 à 1908 : pages 5 - 6 - 7 (partie) traitant des quartiers. Bonne lecture et à demain. CPA Collection G. Creusillet

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Saint Jean de Braye – Monographie de Charles Pontoise – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Suite de la monographie de M. Charles Pontoise sur Saint Jean de Braye : pages 3 et 4. St Jean de Braye : Pourquoi ce nom ! Bonne lecture et bonne soirée. CPA - Collection de G. Creusillet - La Loire à Saint Loup

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Saint Jean de Braye – Monographie de Charles Pontoise – 1 –

Bonjour à toutes et à tous, Malgré un premier indice donné avant-hier soir, vous n’avez pas identifié l’auteur de la monographie de Saint Jean de Braye écrite par cet instituteur, directeur d’école, qui a exercé dans notre commune de 1892 à 1908 et qui était le beau-père de M. Emile BERNON, maire du 19/02/1937 au 29/10/1947. Voici donc la réponse : Il s’agit de M. Charles PONTOISE. Né en 1853 en Seine et Marne, Charles Pontoise fut instituteur et secrétaire de mairie à Saint Jean de Braye de 1892 à 1908. Il est décédé le 8 avril 1931. Son gendre, Emile Bernon fut maire de Saint Jean de Braye de février 1937 à octobre 1947. En effet, Emile Bernon, né en 1880, épousa en avril 1905, la fille des époux Pontoise. Les deux couples vivaient séparément, dans les deux appartements identiques de la « Maison de Plaisance », avenue Charles Péguy. M. Pontoise a écrit une monographie de Saint Jean de Braye que nous avons retrouvée aux archives municipales. Cet écrit manuscrit a été dactylographié par une stagiaire dans ce service. En voici le 1er paragraphe : Saint Jean de Braye, limites et aspects. Bonne lecture et à demain pour la suite.

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Monographie de Saint Jean de Braye

Bonjour à toutes et à tous, Noël approche ! Avant de vous faire découvrir les textes écrits dans la revue mensuelle « En grappillant » des années 1947 - 1948 et 1949, par les élèves de la classe de M. G. Gobin, instituteur à l’école de garçons de la mairie, nous souhaitons porter à votre connaissance la monographie de Saint Jean de Braye écrite par un autre instituteur, directeur d’école, qui a exercé dans notre commune de 1892 à 1908. Mais, comment se nomme t il ?. Dites nous. Enfin, rappelons que c’est grâce à M. Claude Bourdier, qui a conservé précieusement toutes ces revues mensuelles, que nous pourrons vous faire découvrir ces textes de Noël. Nous le remercions à nouveau chaleureusement. Bonne journée à tous et à demain. Photo ChR : couverture de la revue « En grappillant »

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Un nid de souris

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir, Claude BOURDIER, élève de M. Gobin, instituteur à l’école de garçons de la mairie en décembre 1948, nous raconte une histoire de chats et de souris ! ----------------- Un nid de souris : Jeudi matin, ma sœur et moi, nous faisions nos devoirs dans la cuisine. Tout à coup, maman qui pénètre dans la pièce nous dit : - « les enfants, portez vite les chats dans le poulailler, papa vient de découvrir un nid de souris ». Aussitôt, nous prenons chacun un chat et nous allons retrouver papa. Là, près de la niche aux lapins, dans le tas de pommes de terre, nous voyons le nid de souris. De la grosseur d’une balle, il est formé de brins de paille et de foin finement coupés et entrelacés. J’ai à peine posé Mickey dans les pommes de terre qu’il attrape une grosse souris. Il la mange presque aussitôt puis il recommence sa chasse. Bientôt deux autres plus petits subissent le même sort. Micette, complètement désintéressée par les souris contemple les lapins à travers le treillage. Voulant imiter les chats, nous attrapons les souris par la queue. Mais, souvent celle-ci nous glisse des mains alors que nous croyons bien la tenir. Avec le chat, nous avons réussi à détruire en peu de temps six souris et nous avons laissé Mickey à l’affût. Texte de Claude Bourdier (13 ans 1/2) En grappillant - 3ème année - numéro 15 - décembre 1948. Revue mensuelle de la coopérative scolaire de l’école de garçons de la mairie. Image gratuite et libre de droits ------------------- Rappelons que c’est grâce à M. Claude Bourdier, qui a conservé précieusement toutes ces revues mensuelles, que nous pouvons vous faire découvrir ces textes. Nous le remercions à nouveau chaleureusement. Bonne soirée à tous et à demain.

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La chute des feuilles

Bonsoir à toutes et à tous, Le vent a bien soufflé depuis hier soir, mais il n’a pas encore gelé, néanmoins, Raymond Janowiecz, élève de M. Gobin, instituteur en novembre 1947 nous raconte : La chute des feuilles Les arbres se dépouillent de leurs feuilles jaunies Qui tourbillonnent jour et nuit. En tombant sur le sol durci, Elles forment un épais tapis. Les feuilles tournoyant, Voltigent gentiment, Comme des papillons blancs, Qui se posent doucement. Sur le tapis rouillé , S’empilent les feuilles brûlées, Constituant un matelas cuivré, Qui réchauffe la terre gelée. Texte de Raymond Janowiecz Sources : En grappillant - revue mensuelle de la coopérative scolaire de l’école de garçons de la mairie - 2ème année - Numéro 2 - Novembre 1947 Bonne soirée à vous, et à demain. Photo libre de droits et gratuite La chute des feuilles

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Le ramassage des feuilles

Bonsoir à toutes et à tous, C’est l’automne, le vent est annoncé, il faudra bientôt ramasser les feuilles. Roger Truillet (10 ans 1/2), élève de M. Gobin en décembre 1948 nous raconte : Le ramassage des feuilles Jeudi dernier, papa dit : - « Aujourd’hui, nous allons ramasser les feuilles dans le parc ». Nous partons. Papa tire une grande remorque dans laquelle il a posé les râteaux et la fourche. Nous commençons par nettoyer les petites pelouses près de la maison. Nous rassemblons toutes les feuilles mortes à moitié pourries dans les allées avec un râteau. Avec la fourche, papa les charge dans la remorque et les conduit sur un gros tas pour qu’elles achèvent de pourrir. L’année prochaine, papa les emmènera et les enterrera dans les champs comme du fumier. Texte de Roger Truillet (10 ans 1/2). Lino de Claude Bourdier (13 ans 1/2). Sources : En grappillant - Revue mensuelle de la Coopérative Scolaire de l’Ecole de garçons de la mairie - 3ème année - numéro 15 - Décembre 1948. Bonne soirée à vous, et à demain.

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La fabrication des fers à bœufs

Bonsoir à toutes et à tous, M. Bouteloup (13 ans 1/2), élève de M. G. Gobin, instituteur à l’école de garçons de la mairie, en 1948, nous raconte : La fabrication des fers à bœufs il y a une dizaine d’années a été montée une usine de fers à bœufs, près de la gare. Le travail se fait à la chaîne. D’abord, les grandes plaques de tôle sont taillées en cinq morceaux rectangulaires de 0,30 m sur 1,60 m environ. Ensuite, les fers sont découpés dans la tôle à l’aide d’un gros emporte-pièces actionné par un moteur électrique. Les fers tombent alors dans des caisses métalliques qui aussitôt pleines sont transportées à côté du four. Là, ils sont déversés sur une table, et à l’aide d’une pelle de fer, un ouvrier les place, par paquets de quatre, sur une plaque tournante dans le four chauffé au mazout. Lorsque les fers sont chauffés à blanc, un ouvrier les sort et une grosse presse perce les avant-trous de façon à loger la tête du clou. De là, ils passent sur une petite presse qui elle, relève les queues et donne aux fers leur forme définitive. Ils tombent maintenant sur le tapis roulant d’où ils iront sur une autre table. Un manœuvre les ramassera et finira de percer les trous avec une poinçonneuse. Il ne reste plus qu’à mettre les fers en paquets de vingt cinq, à poinçonner celui de dessus de chaque paquet et ils seront prêts à être expédiés. Sources : En grappillant - revue mensuelle de la coopérative scolaire - école de garçons de la mairie SJDB - 2ème année - numéro 7 - avril-mai 1948. Publicité RACAUD Fers à boeufs

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Visite à la foire St Aignan

Bonsoir à toutes et à tous, Le Festival de Travers, Place Saint Aignan, a eu lieu dernièrement. Il est devenu un rendez-vous incontournable. Il a fait suite à la Foire Saint-Aignan ou Fête du Cochon qui s’y tenait auparavant. En 1948, comme le raconte François Hubert dans la revue mensuelle de la coopérative scolaire de l’école de garçons de la mairie « En grappillant », la foire St Aignan attirait déjà certains abraysiens. Voici son récit : Visite à la foire St Aignan Jeudi dernier, maman, ma sœur et moi, nous sommes allés à Orléans à la foire St Aignan. A une heure et demie, nous avons pris le car qui nous a descendus à l’entrée de la rue Bourgogne. Puis, nous avons suivi cette rue décorée d’écussons bleus et de guirlandes multicolores. De nombreux haut-parleurs diffusaient l’organisation d’une course au trésor. De chaque côté de la rue, de belles devantures étaient fleuries avec goût ; ici se montrait un beau cochon en pain d’épices, plus loin, on pouvait admirer de jolis poupards* habillés de couleurs vives. Ensuite, nous nous sommes arrêtés pour l’arrivée de la course au trésor. Une dizaine de concurrents sont arrivés avec divers objets : une casserole sur la tête, un cadre de vélo à la main, un réveille-matin en guise de montre-bracelet, etc.… La course terminée, nous nous sommes dirigés vers la place St Aignan où tournaient quelques manèges. Des forains vendaient des bonbons, des cochons en pain d’épice, des nougats, des gaufres…. Tout un trottoir était garni de plants d’arbres fruitiers, depuis le scion jusqu’aux hautes tiges. Tous portaient une petite étiquette jaune. En revenant, au pont Bourgogne, nous avons vu le lancer de ballons et nous sommes rentrés à pied à la maison. Texte de François Hubert - En grappillant - 3ème année - Numéro 15 - décembre 1948.…

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