Saint Loup et son jubilé

Bonjour à toutes et à tous, Savez-vous qui était Saint Loup ? Saint-Loup Né en 573 de noble famille, au Château sis sur la colline près de la Loire. Après des études auprès de ses oncles, Evêques d’Orléans et d’Auxerre, en 609, il deviendra Evêque de Sens où il va mourir en 623. Au château, ses ancêtres vont édifier une chapelle pour y déposer les reliques du Saint Homme. Elles attirent de nombreux pèlerins. Des religieuses Bénédictines établiront un monastère qui prendra le nom de Saint-Loup. Il deviendra ensuite une abbaye royale. Par extension le quartier prendra le nom de Saint-Loup. Situé à la bifurcation de deux voies gallo-romaines, ce quartier ne fera que prospérer. Sources : Site de la ville de St Jean de Braye Bonne journée à vous. Bientôt le jubilé ! Plus d'infos : https://www.larep.fr/saint-jean-de-braye-45800/loisirs/son-et-lumiere-inedit-foire-merovingienne-et-reliques-le-jubile-de-saint-loup-a-saint-jean-de-braye-va-vous-en-mettre-plein-les-yeux_14322686/?fbclid=IwAR3oaO2RxozE1GCjSxat1KquVwytMpjA4jsPsurVa845dpKZYwTLLrtBZ9s

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François Marchand – 2 –

Bonjour à toutes et à tous, Nous vous le disions avant hier, François Marchand nous a quittés jeudi, Ses obsèques seront célébrées vendredi après-midi 9 juin 2023 à 15h30 en l’église de Saint Jean de Braye. Il avait fêté son 99ème anniversaire en juillet dernier à la Crêperie Le Pen Duick à Saint Jean de Braye (voir photo), nous nous attendions toutes et tous à fêter son centième anniversaire prochainement, mais le destin en a décidé autrement ! En son hommage, nous publions ce matin deux portraits de M. Marchand que nous avons dans nos archives. Nous ne l’oublierons pas. Sources : Portrait paru dans un document publié par la Ville de SJDB en 1985 La république du Centre : https://www.larep.fr/.../portrait-de-francois-marchand.../ Photos Crêperie Le Pen Duick. Bonne journée à vous François Marchand à la crêperie François Marchand à la crêperie

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Karine BOUCHER – 6 –

Bonjour à toutes et à tous, Il y a deux jours, nous vous avons parlé de Karine Boucher. La République du Centre y consacre un article dans son édition de ce jour : 24 mai 2023. Bonne journée, Sources : La république du centre

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Karine BOUCHER – 5 –

Bonsoir à toutes et à tous, En février 2023, Karine Boucher, jeune championne abraysienne, a fait l'objet de quatre de nos publications. Ce week-end, Karine Boucher était de retour à Saint Jean de Braye. Elle a été accueillie par Madame le maire pour la remise de l'insigne de Chevalier de l'Ordre National du Mérite par Yann Cucherat. Une joie et un honneur pour Madame le maire et pour la ville de Saint Jean de Braye ! Un moment de reconnaissance, par la Nation et la commune, du parcours sportif personnel et professionnel de Karine Boucher. Son palmarès est impressionnant et les Abraysiennes et les Abraysiens peuvent en être fiers : - Vice-championne du monde de tumbling 1998 - Championne d'Europe de tumbling 1998 - Championne d'Europe de tumbling par équipe 1997/1998 - Championne de France de gymnastique artistique féminine (GAF) 1986, 1987, 1988 - Championne de France de tumbling 1997 Par ailleurs, elle a fait partie de la délégation française aux Jeux olympiques d'été de 1988 à Séoul et aux Jeux olympiques d'été de 1992 à Barcelone. Félicitations à elle, un exemple pour les jeunes générations ! Excellente soirée à vous et à demain. Sources : Texte et photo : Madame V. Slimani, maire de Saint Jean de Braye Karine Boucher et Madame le maire

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Le garde-champêtre (recherches)

Bonsoir à toutes et à tous, La police rurale est très ancienne puisqu’elle remonte au moyen âge avec son premier représentant : le garde champêtre. Nous nous souvenons tous du garde-champêtre des années 1950/1960 lorsque nous étions encore enfants. Il effectuait des travaux divers et les annonces officielles avec son tambour, à la criée, aux carrefours des rues de nos villages. A Saint Jean de Braye, depuis longtemps déjà, la Police Municipale a remplacé le garde-champêtre. Avez-vous des souvenirs du (ou des derniers) garde-champêtre de notre ville ? N’hésitez pas à commenter, nous n’avons aucune information pour le moment, et si vous aviez des photos, ce serait formidable ! Ce soir, à défaut de la photo d’un garde champêtre abraysien, nous avons choisi cette image pour illustrer notre publication. Nos attendons vos commentaires, vos photos et témoignages, et vous en remercions. Bonne soirée et à bientôt. Le garde-champêtre

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 4 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : SUITE et FIN Le choix d’être Bénédictine, ce n’est pas celui d’une profession particulière. Cela dépend de chaque sœur, le point commun étant « une histoire d’amour avec Dieu », une sorte de « coup de foudre et de long cheminement ». On peut aussi tomber amoureuse d’un nom « Bénédictine de Notre-Dame du Calvaire », c’est à dire la louange et la compassion, ou d’un lieu : le monastère. De la plus jeune (28 ans) à la plus âgée (88 ans), la règle est identique : elles sont postulantes, novices à Saint Jean de Braye. Elles y prononcent leurs vœux, y vivent, y prient et travaillent comme « en famille » jusqu’à leur mort. En choisissant d’être Bénédictines, ces femmes venues de partout, choisissent d’être Abraysiennes. A Saint Jean de Braye, on peut aimer passer sa vie à chercher Dieu. Fin Excellente soirée à vous, et à demain. CP - site Delcampe

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : SUITE Gâteaux et eau d’Émeraude les gâteaux des sœurs ! Les sœurs gagnent grâce à eux, leur pain quotidien. « Nous sommes unies ainsi au monde du travail, aiment elles à préciser. De plus, cette production laisse une assez grande disponibilité d’esprit, pour la prière ». Sablés, croquets, croquignoles, amandines, palets, rochers, cakes : huit tonnes de biscuiterie fine sortent chaque année du monastère. Les ingrédients sont entièrement naturels, pas de conservateurs ni d’additifs. La vente s’effectue dans des magasins ou à l’église « Notre Dame des Miracles » à Orléans, les 1er et 3ème samedi de chaque mois. Ne pouvant sortir elles-mêmes hors du monastère, ce sont des amis laïcs qui aident les moniales pour la vente. Ainsi en est-il pour le petit magasin situé dans le monastère. Quant à l’eau d’émeraude , sa fabrication reste un secret gardé depuis sa découverte par une sœur apothicaire au 17ème siècle. 3000 litres ont été produits l’an dernier . La distillation de ce liquide, riche en propriétés pour la peau, commence dès le mois de mai, quand les plantes cultivées sur place ont fleuri. À suivre …….. Bonne soirée et à demain Sablés Eau d'Emeraude (flacon)

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : SUITE « ORA et LABORA » ORA et LABORA. Prie et travaille. Dans une cellule, une sœur lit, assise à sa petite table. Par la fenêtre, elle regarde le ciel et la frontière du cloître. C’est son moment d’oraison, de prière solitaire. « La prière prend toute notre vie, explique t elle. C’est notre travail qui devient prière. Nous gardons le silence et ne parlons que par nécessité du travail et de la charité ». Les offices rassemblent toute la communauté sept fois par jour. Dans l’église, séparée en deux parties par une balustrade, une sœur sonne les cloches pour avertir ses compagnes dispersées. C’est l’heure de sexte, office du milieu du jour. Très court, il précède le déjeuner de chants, louanges et de psaumes. Une sœur se dirige vers le pupitre pour lire une lettre de Saint Jean. Sur le mur de briquettes rouges, un chemin de croix en céramique reçoit la lumière bleue, verte ou jaune des longs vitraux unis. Passage vers le réfectoire, très simple : tables de bois blancs, nom de chaque sœur inscrit sur une étiquette blanche à sa place ; le courrier l’y attend. Une moniale lira durant le repas des livres spirituels ou des vies de saints. Mais on sonne à la porte. C’est un visiteur. Il connaît les spécialités des sœurs abraysiennes et vient en acheter : ce sont les gâteaux. À suivre …… Bonne soirée et à demain pour la…

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : Entre les Parfums DIOR et le CRÉDIT AGRICOLE, un haut mur borde la route de Pithiviers. Il cache un parc au milieu duquel vivent vingt-cinq femmes. Leur espace : ce sont ce bois, ces pelouses, un monastère. Leur temps : chaque journée rythmée par la prière et le travail. Elles se nomme « Bénédictines de Notre Dame du Calvaire ». Suivre une règle vieille de quatorze siècles n’empêche pas ces moniales en robe noire de se sentir abraysiennes d’aujourd’hui. Abraysiennes, elles le sont depuis 1964. C’est à cette date que l’ancien pavillon de chasse du Petit Cormier est agrandi d’un cloître, de cellules, et d’une église. Les sœurs viennent de Vendôme ou d’Orléans, deux monastères qui fusionnent pour n’en donner plus qu’un : celui de Saint Jean de Braye. Les bâtiments récents, murs en béton nu, jouissent de l’espace du parc et des prairies de ce coin du Loiret. Sobre, carrée, moderne, la salle du chapitre révèle l’ancienneté de la congrégation par ses stalles de bois foncé, transmises d’âge en âge. Au détour du cloître, dont les fenêtres en ogives ferment la partie intérieure, un Saint Joseph du 16ème siècle témoigne lui aussi, qu’en ce lieu, se renouvelle une tradition religieuse vivace. Ici, Saint Benoît est présent sur toutes les lèvres, dans les livres et le silence que l’on respire. La règle, l’emploi du temps des moniales, c’est un texte écrit dont les maîtres mots « ORA et…

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