Karine BOUCHER – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, Revenons à nouveau ce soir sur notre gymnaste abraysienne : Karine Boucher. Championne de France de gymnastique artistique en 1986, 1987 et 1988, elle fait partie de la délégation française aux Jeux olympiques d'été de 1988 à Séoul et aux Jeux olympiques d'été de 1992 à Barcelone. Elle se spécialise ensuite en tumbling où elle est la seule Française à avoir battu Chrystel Robert en championnat national entre 1989 et 2000, lors de l'édition 1997. Elle obtient dans cette discipline un titre individuel de championne d'Europe et un de vice-championne du monde. (sources : Wikipédia). La lecture de cette page du bulletin édité par l’Association pour l’information des habitants de Saint Jean de Braye, du début de l’année 1988 vous permettra de découvrir ses excellents résultats de 1987. Excellente soirée, et à demain Photo : Wikipédia - Karine Boucher sur la poutre aux Internationaux de Paris-Bercy en 1990 Karine Boucher sur la poutre aux Internationaux de Paris-Bercy en 1990 bulletin édité par l’Association pour l’information des habitants de Saint Jean de Braye, du début de l’année 1988

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Karine BOUCHER – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à notre publication d’hier soir, les abraysiens de longue date ont bien sur reconnu Karine Boucher, jeune gymnaste abraysienne des années 80, championne de France à 12 ans. Afin de vous permettre de découvrir qui était cette jeune fille de 12 ans, nous publions ce soir le reportage réalisé pour Saint Jean de Braye – Notre ville - n°3 de septembre 1984. Bonne soirée à vous, et à demain. Saint Jean de Braye - Notre ville - n°3 de septembre 1984.

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Georges JOUMAS, historien et abraysien

Bonjour à toutes et à tous, Cette publication vous permettra de mieux connaître Georges JOUMAS. A bientôt Magazine REGARDS de Novembre 2022 Georges Joumas en dédicace - Leclerc Fleury les Aubrais G. JOUMAS présente son livre - Plaine des Armenault Résumé du livre

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M. Francis Oliver, instituteur à l’école Jean Zay

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à notre publication du 4 janvier 2023 concernant les souvenirs de M. Claude Bourdier et les journaux scolaires des années 1947/48/49, Madame Chantal Sarradin, correspondante de la République du Centre pour St Jean de Braye, a rendu visite à M. Francis Olivier, instituteur retraité, qui lui a exposé la méthode Freinet. Puis, quelque temps après, un après-midi, nous avons avec elle rencontré Messieurs Yves Dauboin et Guy Germain, anciens élèves. Un bon moment ! Un article a été écrit par la République du Centre et publié aujourd'hui : dimanche 29 janvier 2023. Vous pouvez le lire ci-dessous. Bonne soirée à vous et à demain. Photo : La classe de M. Oliver dans les années 1960 à SJDB La république du centre du 29 janvier 2023 La classe de M. Oliver dans les années 60

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Jean et Alice Pelletier – Un couple dans la Résistance et la Déportation – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à nos deux dernières publications, concernant Jean et Alice Pelletier, résistants, nous pensons que le court texte du monument vous incite à en savoir plus sur leur destin.  Ce sera l'objet de la conférence du 4 février prochain,  donnée par Georges Joumas, abraysien, docteur en histoire contemporaine et de son livre sorti dernièrement aux Éditions Corsaire et intitulé :  Jean et Alice Pelletier, un couple dans la Résistance et la Déportation. Nous vous attendons nombreux ! Bonne soirée et à demain INVITATION Couverture du livre

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Jean et Alice Pelletier – Un couple dans la Résistance et la Déportation – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous,Suite aux trois questions posées hier soir, voici les réponses : - cette maison était située dans le parc des "Armenault" - elle était nommée la villa Marguerite - "Ker Marguerite" - cette maison appartenait aux parents de Jean Pelletier, il y venait souvent, seul ou en famille. A 100 mètres environ du monument qui matérialise le point septentrional du cours de la Loire, on voit aujourd'hui, deux pans de murs perpendiculaires, vestiges de l'ancienne maison détruite. Deux plaques y sont scellées "Ker Marguerite" et celle dont le libellé suit : En ce lieu, ont vécu : - Jean Pelletier (1903-1945) disparu au camp de Nordhausen - Alice Pelletier (1902-1994) libérée d'Auschwitz par l'armée soviétique. Résistants, ils avaient été déportés en juin 1942.Nous n'avons pas le droit de les oublier. Toutes celles et ceux qui ont résisté nous disent, au-delà du temps, qu'aucune force ne doit se croire libre de nous soumettre. à suivre..... Bonne soirée et à demain Photos JJR : les deux pans de mur aujourd'hui

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M. André GUILBON – 1er maire-adjoint

Bonsoir à toutes et à tous,Vous ne le savez peut-être pas ! Monsieur André Guilbon a été le 1er Maire-adjoint en juin 1963.La famille Guilbon est une des familles les plus anciennes de Saint Jean de Braye.16 juin 1968 :On apprenait avec émotion et tristesse le décès de M. André Guilbon, ancien Maire adjoint.Né à Saint Jean de Braye, le 4 juillet 1888, M. André Guilbon exerça dans notre ville jusqu'à ces dernières années, avec une compétence unanimement reconnue, la profession d'arboriculteur-vigneron. Tous ceux qui ont eu le privilège de l'approcher conserveront de M. André GUILBON le souvenir d'un homme de bon sens, réaliste, toujours affable et d'une parfaite loyauté. Ses concitoyens consacrèrent ses remarquables qualités en l'envoyant siéger au Conseil Municipal lors du scrutin du 26 avril 1953 en remplacement de M. Georges Boulard, son beau-père, décédé en février dernier. Réélu en tête de tous les candidats lors des élections du 8 mars 1959, M. Guilbon était désigné le 15 mars 1959 pour occuper le poste de deuxième adjoint. Quelques mois plus tard, le 28 juillet 1959, il accédait à celui de premier adjoint. C'est en cette qualité qu'il devait assumer l'intérim de la charge de Maire au décès de M. Petit, auquel l'unissaient des liens d'amitié, jusqu'à l'élection du nouveau maire, poste qu'il avait alors décliné, en dépit des sollicitations pressantes dont il avait été l'objet de la part de ses collègues.Le 29 juin 1963, il devait être le premier de nos édiles à recevoir le titre de :  Maire-adjointen témoignage de reconnaissance pour le dévouement dont il n'avait cessé de faire preuve dans l'exercice de ses fonctions.M. Guilbon n'avait pas sollicité en mars 1965 le renouvellement de son mandat pour raison de santé.Ses obsèques ont été célébrées en l'église de Saint Jean de Braye. La population était largement représentée et l'église était trop petite…

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Louis-Joseph SOULAS – 4 – l’avenue

Bonsoir à toutes et à tous, Vous avez découvert dernièrement, Louis Joseph Soulas et quelques unes de ses œuvres. Les gravures et les eaux-fortes de LJ Soulas - paysages beaucerons, La Loire, paysages solognots - l’ont rendu célèbre bien au-delà des frontières régionales. A Saint Jean de Braye, c’est le 17 décembre 1958, que le Conseil Municipal a donné son nom à : l’Avenue Louis-Joseph Soulas. Elle commence avenue Charles Péguy et finit avenue Pierre et Marie Curie. Ces quelques photos ou cartes postales vous permettront de parcourir l’avenue LJ Soulas autrefois : 1 - La villa Saint Martin 2 - La mère poule (commerce) 3 - La première poste 4 - L’ancienne boulangerie 5 - Le Narval 6 - La pancarte de rue : LJ Soulas à SJDB Très bonne soirée à vous, et à demain CPA : collection G. Creusillet - Photos JJR La villa St Martin - 1916 La mère poule (épicerie) L'ancienne poste Ancienne boulangerie Le café de la Gare (Le Narval aujourd'hui fermé) Plaque de rue

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Louis-Joseph SOULAS – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, Terminons ce soir avec le récit sur Louis-Joseph Soulas. (Récit provenant du catalogue édité dans le cadre de l’exposition « Louis-Joseph SOULAS et la Loire » présentée au Musée de la Marine de Loire de Châteauneuf-sur-Loire du 23/10/2009 au 31/01/2010). En 1939, LJ Soulas est nommé directeur de l’Ecole Régionale des Beaux-Arts d’Orléans, il enseigne la gravure sur bois, sur cuivre, le croquis et le dessin d’art. Il est également nommé conservateur-adjoint du cabinet des estampes du musée des Beaux-Arts d’Orléans, et président de la Commission permanente des sites du loiret. Mobilisé en Alsace, il continue pourtant à graver, entre autres une série d’affiches pour l’Armée. 1940 : Il est fait prisonnier et emmené en Poméranie, affecté à des travaux de la terre. Octobre 1941 : Rapatrié pour cause de maladie, il découvre Orléans en ruines. 1942 : Il participe à la création de la Société des Amis des musées d’Orléans. Ses œuvres entrent dans les musées de Strasbourg, d’Epinal, de Philadelphie. 1943/1954 : Il est nommé président de la Société des Artistes Orléanais. Il poursuit inlassablement son travail, expose et illustre de nombreux ouvrages. 1946, 1948 et 1952 : Il est membre du Jury pour le prix de Rome de gravure. 1950 : Maurice Genevoix remet à Louis-Joseph Soulas la croix de Chevalier de la Légion d’Honneur. Il décède le vendredi 26 mars 1954 à Paris. Gravure : Le pêcheur de Loire (1951) Le pêcheur de Loire- 1951 -

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