Les lavandières, les bateaux-lavoirs et la lessive à la violette

Bonsoir à toutes et à tous, Vous ne vous souvenez pas des lavandières et des bateaux-lavoirs, mais vous souvenez-vous de la lessive à la violette de la maison Galet, autrefois installée Faubourg de Bourgogne à Saint Jean de Braye ? N'hésitez pas à commenter ! Bonne soirée, et à demain. Sources : La république du centre - série- en collaboration avec "Orléans Insolite". Publicité Galet - Source inconnue, non relevée.

Continuer la lectureLes lavandières, les bateaux-lavoirs et la lessive à la violette

L’Hostellerie de Bionne

Souvenirs de l'Hostellerie de la Bionne. N'hésitez pas à commenter si vous le souhaitez ! Bonne soirée à vous. Photo 3 - Exposition ASAA sur les commerces Photo 1 et 2 - La plaquette de l'établissement en activité Photo 4 - Série dans la république du centre du 12 avril 2020

Continuer la lectureL’Hostellerie de Bionne

Les Ateliers d’Orléans – remise de médaille du travail en 1952

Bonsoir à toutes et à tous, Suite aux questions et à la photo publiées hier, voici donc les réponses : C'est une photographie des membres du personnel des Ateliers d'Orléans (de la rue d'Ambert), posant à la Villa Régina, le 5 janvier 1952 à l'occasion de la remise de la médaille du travail (25 ans de service dans l'entreprise) à Monsieur Guilbert. (Sources AD45 + photo du personnel). Au 54 rue de Bellebat à Orléans, se trouvait la villa Régina. Comme à la villa Sébastopol, il s'y tenait des banquets, des bals, et des réunions d'associations. Plus d'informations avec AMAE, association amie de notre groupe : https://amae.eu/index.php/les-batiments-remarquables/villa-regina/ Enfin, sur cette photographie, de nombreux hommes et une seule femme (sans doute une infirmière, ou la personne chargée de s'occuper des enfants du personnel à la crèche). En effet, en 1952, on trouvait peu de femmes dans les entreprises, les banques, etc.... Encore début 1969, et notamment à la Caisse d'Epargne, on comptait les femmes sur les doigts de la main !! Heureusement, les temps ont changés ! Excellente soirée à vous, Photo de la villa Régina, avant sa destruction en 2022 : AMAE - Luc Lordet.

Continuer la lectureLes Ateliers d’Orléans – remise de médaille du travail en 1952

La maison « Le boeuf mort » – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Suite à notre appel à l'aide d'hier soir, concernant l'histoire de la maison "Le boeuf mort" à St Jean de Braye, Maurice nous a donné les informations suivantes : Le clos du bœuf mort Le clos des morts Les morts sont un ensemble qui se situe entre la route de Charbonnière, la rue du carrefour Rigault et de la grande maison. Cette très ancienne maison possédait encore en 1834 un grand jardin ou parc exceptionnel. Une grande allée se dirigeait en direction de la rue de la grande maison pour se terminer par ce qui pourrait être une charmille circulaire. Maurice A réception de ce commentaire, nous avons consulté le cadastre napoléonien qui nous a confirmé les propos de Maurice, que nous remercions chaleureusement. Si vous avez d'autres informations, photos ou cartes postales, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous sommes preneurs ! Merci. Excellente soirée à tous. Cadastre napoléonien : AD45

Continuer la lectureLa maison « Le boeuf mort » – 2 –

La maison « Le boeuf mort » – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir, nous avons besoin de vous ! Aux archives départementales du Loiret, nous avons trouvé il y a quelque temps, le plan de la maison appelée "Le Boeuf Mort" à Saint Jean de Braye, ainsi qu'une note de frais de Maître Robert, Notaire, 7 Place Ste Croix à Orléans, établie en 1870 au nom de M. Moullé-Leroy. Nous avons recherché dans le livre de François Marchand, (Saint Jean de Braye, par ses rues et ses lieux-dits), et M. Marchand a indiqué : " le Boeuf Mort" : son nom viendrait de l'enseigne d'une très ancienne auberge sise en bordure de la rue de Charbonnière (à l'époque Route de Pithiviers). Dans sa chanson de 1801, Sébastien Gangneux dit : "Le Boeuf Mort ne fait pas de gestes, nous offre du vin assez bon." Ce sont les seules informations en notre possession ! Auriez-vous une carte postale ancienne, une ou des photo(s), ou des informations à nous transmettre en commentant ? Merci. Excellente soirée à vous, et à demain. Plan : sources AD45

Continuer la lectureLa maison « Le boeuf mort » – 1 –

La maison des Grands champs – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, La maison des Grands champs : Suite et fin Autrefois, une épicerie-buvette était exploitée au numéro 205 rue du Faubourg de Bourgogne, puis par la suite un restaurant, très apprécié des abraysiens "La Grange". Inoccupé pendant plusieurs années, suite à la fermeture de ce restaurant, l'immeuble a ensuite abrité le Cabinet d'Imagerie Médicale de la Pointe Saint Loup, jusqu'à fin mars 2019. L'activité du cabinet est désormais transférée au Pôle Santé d'Oréliance à Saran depuis le 1er avril 2019, au grand regret des habitants du quartier ! Aujourd'hui encore, ce bâtiment attend toujours de nouveaux occupants. En complément de la carte postale ancienne du pittoresque escalier du numéro 203 contenue dans notre publication d'hier soir, nous vous joignons ce soir des photos actuelles de ce même escalier. CPA : Collection de G. Creusillet : La Grange Photos actuelles : JJR Publicité ancienne (Menus à partir de 12 francs). Bonne soirée à vous, et à demain. Prenez soin de vous et des vôtres.

Continuer la lectureLa maison des Grands champs – 2 –

La maison des Grands champs – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous, Nous sommes ce soir dans le quartier Saint Loup et nous nous intéressons à la "Maison des Grands Champs", rue du Faubourg de Bourgogne : Située aux numéros 203 et 205 rue du Faubourg de Bourgogne (face au restaurant Courtepaille), la maison des Grands Champs est une très ancienne bâtisse, et dans sa cour intérieure, vous pouvez toujours découvrir son pittoresque escalier (voir CPA). Sur la 2ème carte postale ancienne ci-dessous, la maison des Grands Champs se trouve tout de suite sur la gauche, on y voit une enseigne "Epicerie". Au numéro 203, toujours une maison d'habitation où ont vécu Monsieur Moussu et sa famille de 15 enfants, de 1869 à 1934. Monsieur Moussu était voiturier et fournissait également la famille Bollée en crottin de cheval qu'il ramassait avec sa brouette. En effet, la fonderie utilisait le purin de crottin pour le décapage des cloches. Autrefois, une épicerie-buvette était exploitée au numéro 205, puis par la suite............................... Cartes postales anciennes : Collection de G.Creusillet Bonne soirée à vous, et à demain pour la suite.

Continuer la lectureLa maison des Grands champs – 1 –

Mariage au Café de la Haute Croix en Janvier 1899.

Bonsoir à toutes et à tous, Un très beau cliché ce soir : Photo de mariage au Café de la Haute Croix en Janvier 1899. Excellente soirée à vous. Cliché de : Photographie Orléanaise Sources : Collection Gérard Creusillet Photo de mariage au Café de la Haute Croix en Janvier 1899.

Continuer la lectureMariage au Café de la Haute Croix en Janvier 1899.

Delaugère et Clayette – 4 –

Bonjour à toutes et à tous, Pour celles et ceux qui aiment les vieux camions et les voitures anciennes ! Delaugère est une marque de carrosseries hippomobiles et automobiles créée en 1864 à Orléans. En 1906, la marque s'associe avec les frères Clayette pour ainsi créer ses premiers moteurs. Delaugère et Clayette, basée à Orléans (faubourg Madeleine - 1903-1934), est alors réputée pour ses voitures, comptant parmi les plus luxueuses et les plus chères d'Europe. Son capital était alors supérieur à celui de Renault ou de Peugeot. En 1934, l'entreprise est reprise par Panhard et Levassor, puis par Citroën. Aujourd'hui, le club Delaugère et Clayette recherche et rassemble des documents (plans, photos…) sur la marque automobile orléanaise disparue, afin d'en sauvegarder la mémoire. Bonne après-midi à vous, et à demain Sources : La République du Centre du 28/11/2013 Photos : Wikipédia et Club Delaugère et Clayette 1 - 1924 - Fourgon Incendie 2 - 1926 - TORPEDO Fourgon Incendie Delaugère et Clayette de 1924, 1926 - TORPEDO

Continuer la lectureDelaugère et Clayette – 4 –

Delaugère et Clayette – 3 – La Providence

Bonjour à toutes et à tous, La famille Delaugère a effectivement été propriétaire de la demeure de « La Providence » au 369 rue de Charbonnière à Saint Jean de Braye. Bravo à celles et ceux qui ont donné la bonne réponse ! La Providence : (sources : Saint Jean de Braye, à la découverte de son histoire au fil des rues - Éditions du Jeu de l’Oie). Autrefois : La maison et ses dépendances font partie du Clos de la Providence, planté en vignes, constituant le siège de l’exploitation viticole avec l’habitation du vigneron. Construite dans la seconde moitié du XVIIIème siècle, elle est caractéristique des « maisons de campagne » de l’Orléanais organisées sur trois niveaux traversants : une cour, à l’avant, s’ouvre sur la rue tandis qu’un jardin à l’arrière constitue un espace entre la partie habitée et les vignes. Le jardin d’origine s’inspire d’un jardin à la française avec des parterres floraux délimités par des buis, dont certains subsistent encore. Au début du XIXème siècle, la cour est fermée par un portail surmonté d’un motif portant le nom « La Providence » et la date de 1823. Le Clos de la Providence est exploité par différents vignerons. Le grand-père de Charles Péguy, Louis Marcou Péguy, aurait été l’un des vignerons. La famille Delaugère, constructeur de voitures automobiles, possède la propriété et la conserve jusque dans les années 1950. A partir de cette date, la maison et les terres agricoles sont séparées. Des bâtiments agricoles et d’habitation sont aménagés au fil des époques, créant ainsi un petit hameau. Excellente soirée à tous, et à demain. Photos : JJR La Providence La Providence La Providence

Continuer la lectureDelaugère et Clayette – 3 – La Providence