La boucherie Gérard Lesimple, rue d’Ambert

Bonsoir à toutes et à tous, Continuons par la rue d'Ambert. Plusieurs artisans-bouchers se sont succédé au 43 rue d'Ambert, à son intersection avec la rue aux Ligneaux. (Côté Orléans). Nous n'avons pas retrouvé à quelle date celle-ci a été ouverte, ni quels ont été les premiers bouchers. Si vous avez des informations, n'hésitez pas à commenter. Nous savons que jusqu'en 1948, c'était la boucherie Fouju. De 1948 à 1962, le boucher était M. Denis (le père de Jacky), puis de 1962 à 1993 Jacky Denis. ( L'humour de J. Denis est à souligner ! voir le papier d'emballage de la viande). Son successeur, Gérard Lesimple a cessé son activité en 1999/2000 et a vendu à un particulier qui a transformé la boucherie en maison d'habitation. Photo : Boucherie Gérard Lesimple transmise par M. Lesimple Photo : Papier d'emballage remis par Jacky Denis Photo : Maison d'habitation actuelle : JJR Excellente soirée à tous, et à demain Boucherie Gérard Lesimple Maison d'habitation actuelle Papier d'emballage Jacky Denis

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L’Epicerie Mothiron, rue d’Ambert

Bonsoir à toutes et à tous, Saviez-vous qu'une épicerie se trouvait autrefois au numéro 1 rue d'Ambert. C'était l'épicerie tenue par Madame Mothiron jusqu'en 1952, année de son décès. La vitrine a disparu en 1953/54 et désormais aucune trace visible ne reste de cette épicerie. Photo ancienne épicerie : BH Photo d'aujourd'hui : JJR Excellente soirée à vous, et à demain. Epicerie MOTHIRON L'épicerie à disparu au 1 rue d'Ambert

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La boulangerie Bouchereaux

Bonsoir à toutes et à tous, Toujours rue du Faubourg de Bourgogne, l'ancienne boulangerie Bouchereaux appelée plus couramment par les habitants du quartier « la boulangerie jaune ». (195 rue du Fbg de Bourgogne). Dans les années 60, c’était la boulangerie Desgland. En 1975, S. Auguste est boulanger, pâtissier, confiseur, glacier, en cet endroit. Le dernier boulanger jusque dans les années 2000, c’est Thierry Bouchereaux et son épouse Edith. Vendue suite à la cessation d’activité de T. Boucheraux, c’est désormais une maison d’habitation récemment restaurée. Si vous connaissez d’autres boulangers ayant exercé dans cet immeuble, n’hésitez pas à commenter. Photos JJR : - La boulangerie Bouchereaux - La boulangerie en vente - La maison d’habitation restaurée - La villa Louise et la boulangerie attenante (CPA Collection G. Creusillet). Bonne soirée à vous, et à demain Boulangerie Bouchereaux avant fermeture Boulangerie en vente Après la boulangerie, une maison d'habitation La Villa Louise et la boulangerie attenante

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La famille de Jean Bollée

Bonsoir à toutes et à tous, Restons rue du faubourg de Bourgogne avec la famille Bollée : Autour de 1943. Sur cette photo on aperçoit Jean BOLLÉE en costume, la 7ème génération de fondeurs. Ses 6 enfants. Il en aura 9. Sa femme, Madeleine. Le 4ème en partant de la gauche, Dominique BOLLEE, représentera la 8ème et dernière génération de fondeurs. De père en fils de 1715 à 2015. Sources : Adrien Bollée - publication du 28 mars 2021 - Orléans insolite - Fonderie BOLLEE, Saint Jean de Braye. la famille de Jean Bollée vers 1943

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La graineterie Saint Loup

Bonsoir à toutes et à tous, Et pour changer un peu, partons ce soir : rue du faubourg de Bourgogne, où se trouvait autrefois " La Graineterie Saint Loup", juste à côté du Bar de la Pomme de Pin,  devenu Le Meeting Potes depuis quelques années. On y vendait tout pour le jardin : des graines de toutes sortes, engrais, terreau, mais aussi du grain, du foin, de la paille, ......qui étaient stockés en face, dans les bâtiments qui abritent aujourd'hui un centre de contrôle technique des véhicules automobiles.On pouvait y trouver également tout le matériel pour la pêche : les cannes, les asticots, ...- "Quand on allait acheter du grain pour les poules, on avait le droit de fouiller dans les bacs et ça dégageait les odeurs des graines. C'était vraiment la première boutique où çà sentait bon !" nous confie une voisine qui a vécu toute son enfance dans le quartier.Aujourd'hui, cette graineterie a disparu, et c'est désormais une maison d'habitation. Photo d'hier : La graineterie St Loup : CW Photo d'aujourd'hui : JJR Bonne soirée à vous,et à demain. Publicité année 1964 La graineterie dans les années 1960 L'emplacement de la graineterie aujourd'hui

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Ets d’apiculture G. Boulmier, rue de la mairie.

Bonsoir à toutes et à tous, Les établissements d'apiculture G. Boulmier, rue de la mairie à Saint Jean de Braye, avaient deux magasins de vente : - l'un aux Halles d'Orléans - le second à Paris, 193 rue Saint Honoré. On pouvait également se procurer leurs produits de qualité sur les expositions à Paris et en province. Avez-vous goûté le délicieux pain d'épices produit par cet établissement ? Excellente soirée à vous et à demain. CPA et publicité : collection Gérard Creusillet Ets Boulmier Publicité Ets Boulmier

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Super-marché Magdor

Bonsoir à toutes et à tous, Avez-vous connu le Super-Marché MAGDOR ? Il se trouvait en 1967 - Rue de la République (voir publicité trouvée dans le numéro 4 du bulletin municipal annuel, daté de janvier 1968). Nous ne l'avons pas connu, mais si nous en parlons aux abraysiens de longue date, ils en gardent tous un excellent souvenir. Mais pourquoi donc ? Dites-nous ? Quand a t il fermé ses portes ? Aujourd'hui, l'immeuble qui abritait ce supermarché, laissé inoccupé quelque temps et servant de dépôt aux services de la ville, abrite depuis quelques années l'Association abraysienne "Les bricolos et modélistes abraysiens", dont la devise est "Partage et Savoir Faire " dans les domaines relatifs aux activités manuelles de loisirs. La ville a donné à cet immeuble le nom de "Maison Magdor". N'hésitez pas à commenter. Merci à vous et bonne soirée. A demain Photos : ChR Publicité Janvier 1968 Maison MAGDOR aujourd'hui

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Statistique agricole

Bonjour à toutes et à toutes, Saint Jean de Braye avait autrefois une vocation agricole importante. A la fin de chaque année, le secrétaire de mairie devait adresser à la Préfecture l'état de la "Statistique Agricole". L'état de l'année 1883 nous apprend que nous avions cultivé : - 70 hectares de froment, - 20 de méteil, - 12 de seigle, - 10 d'orge, - et 30 d'avoine; Puis, 15 hectares de pommes de terre, et 8 de légumes secs. Nous avions 600 hectares de vignes dont le produit moyen par hectare était de 30 hectolitres. A cette époque, nous avions : - 105 chevaux, - 12 ânes, - 198 vaches, - 10 veaux, - 50 moutons, - et 80 porcs. Les temps ont bien changé ! Il serait intéressant de recenser aujourd'hui ces animaux dans notre commune ! Nous y trouverions les animaux de : - l'entreprise "Moutons et Cie" dans le parc de Miramion et des Longues Allées, - ceux de l'association "Graines de bonheur" - Et ? ? En connaissez vous d'autres ? Excellente soirée à tous, et à demain Photo : Page Facebook de "Graines de bonheur" Sources : ancien bulletin municipal Page facebook de GRAINES DE BONHEUR

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La gare

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir : La gare de Saint-Jean de Braye : une conquête difficile des abraysiens ! La Compagnie de chemin de fer de Paris-Orléans (le P.O) ouvre la voie ferrée en 1873. Aucun arrêt n'est alors prévu à Saint-Jean de Braye. Pour prendre le train ou pour charger des marchandises, il fallait se rendre soit à Orléans (environ 4,5 km) soit à la gare de Mardié-Chécy (environ 6,7 km). La municipalité de Saint-Jean de Braye se bat, de la fin des années 60 et pendant toutes les années 70, pour obtenir une gare vers le Clos de l'Arche. Mais la commune voisine de Boigny souhaite également faciliter l'accès au train pour ses habitants. Il faudra donc composer et finalement la gare sera construite au lieu-dit Charbonnière aux vignes. En 1881, dès que les quais sont construits, une station accessible aux voyageurs ouvre. La construction de la gare et de ses bâtiments est achevée en 1883. Le service voyageur ferme le 15 mai 1939, cependant on a pu acheter des billets dans cette gare jusqu'à la fin des années 1990. Un fait plus récent exceptionnel : En 2009 Gilles Paquet-Brenner y tourne des scènes du film «Elle s'appelait Sarah». Depuis quelques années, la gare a été vendue et un cabinet de kinésithérapeutes s'y est installé. Bonne soirée à vous, et à demain. Cartes postales anciennes : collection G.Creusillet - Photos JJR - Affiche du film "Elle s'appelait Sarah" Affiche du film

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Les cafés de Saint Jean de Braye

Bonsoir à toutes et à tous, Dans son ouvrage "En singeant et papotant", François Marchand nous conte l’histoire de Saint Jean de Braye et certaines anecdotes abraysiennes. Ce soir : Il fallait bien écouler la production vinicole. On sait que l'ancien Saint Jean de Braye était un pays de vignoble - il couvrait 939.63 hectares à la confection du cadastre en 1834 - . En 1850, la population totale était de 1306 âmes et nous comptions 18 cabaretiers, regrattiers, aubergistes pouvant porter le titre de : Débitant de boissons à consommer sur place. Rien que pour le quartier de Saint Loup (entre la rue de l'Orbette et la pointe Saint Loup) fleurissaient 13 estaminets. La population du quartier était de 275 âmes. En 1858, le sieur Arthus demandait l'autorisation d'entrer dans cette confrérie, mais le 26 juillet, le Préfet, après enquête, déclarait : il résulte que le nombre de débits existant au quartier St Loup est plus que suffisant pour les besoins de la population. L'autorisation ne fut pas accordée conformément au décret du 29/12/1851. Dans les années 1880, la population était de 2072 habitants et nous comptions huit nouveaux débitants. Le hameau de Vomimbert en comptait à lui seul 4 supplémentaires. Il est vrai qu'à l'époque Vomimbert était un centre commercial où se tenait chaque année, en août, une assemblée très suivie. Vint ensuite la période 1908/1911, époque de la construction du canal où l'on vit éclore dix nouveaux débits entre les Longues Allées et le Port St Loup. Un estaminet exploité par Louis Brioni se tenait même sur la drague "La Légère" ancrée vers le Bourg. En 1988, nous sommes plus sobres puisque nous ne possédons plus que 13 débits à grande licence (avec les petites licences, le total est de 18). La Police des cafés et débits de boissons a été créée par…

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