Louis PETIT

Bonsoir à tous, Monsieur Louis PETIT - Maire de octobre 1947 à mai 1963 M. Petit était négociant en café et torréfacteur rue de l’Orbette à St Jean de Braye, à la limite d’Orléans. Son mandat qui dura 15 années fut marqué par la construction de grands ensembles apportant de nombreux logements nouveaux, le premier se situant au Clos du Larry. Ces constructions ont eu pour effet de doubler la population de la commune qui est passée de 3577 habitants en 1946 à 6829 en 1962. La construction et l’agrandissement des écoles ont suivi cette évolution (groupes scolaires Gallouédec et Jean Zay) Durant l’année 1958 l’acquisition de terrains en vue de construire un nouveau groupe scolaire rue du Pont Bordeau fut décidée. Ce groupe qui sera dénommé Louis Petit ne fut ouvert que pour la rentrée de 1966. La propriété de la Motte-Fresnaie fut également achetée en 1962 afin de créer un Centre aéré. Devant l’expansion démographique de sa commune, de nombreuses innovations sont intervenues : modernisation de l’éclairage public, amélioration de la voirie, dotation d’un matériel nouveau pour les services d’incendie, autonomie du ramassage des ordures ménagères par l’acquisition de bennes, etc …. Un projet de Zone Industrielle fut également lancé, tout comme la création d’un écusson héraldique aux armoiries de la ville. L’intérieur de la Mairie a été modernisé, la salle du Conseil Municipal rajeunie et le mobilier remplacé. Décédé en mai 1963, hommage lui a été rendu par le Conseil Municipal et le Personnel de la commune pour son civisme et son dévouement pour l’intérêt public. FIN Bonne soirée et à demain Sources : Portrait de M. Petit : Ville de St Jean de Braye Ecusson : Archives municipales Louis PETIT Blason de Saint Jean de Braye

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Emile BERNON

Bonsoir à toutes et à tous, Ce soir : Emile BERNON Maire de février 1937 à octobre 1947 C’est le 19 février 1937, suite au décès de Louis Gallouédec qu’il fut élu Maire à l’unanimité. Chef de division à la Préfecture du Loiret, il habitait à Plaisance, route de Gien (83, Avenue Charles Péguy). La même année, le 27 juin, entouré des conseillers municipaux, il inaugura la salle des fêtes sous la présidence de Jean Zay, Ministre de l’Education Nationale et de plusieurs personnalités du département. Cette manifestation se déroula, aux dires des journaux, « dans une atmosphère de joie, d’entrain, de cordialité et à laquelle le radieux soleil d’été apporta son tribut ». Après une réception officielle à la Mairie et un dépôt de gerbe au monument aux morts, un premier concert se déroula à la salle des fêtes suivi d’un second concert en plein air par la Société Musicale et la Société de Trompes de Chasse « Les Echos de Saint Jean de Braye ». Une démonstration du Corps des Sapeurs Pompiers compléta le programme de cette journée. Pendant l’occupation Emile Bernon fut maintenu dans ses fonctions bien qu’il n’eût fait aucune concession au régime de l’époque. Patriote ardent, il n’hésita pas à affronter les autorités allemandes de 1940 à 1944 dans des circonstances qui firent craindre pour sa liberté. Il facilita les mouvements de la résistance locale. Il présidait de nombreuses associations, notamment celle de la cantine des écoles. Il était également Président d’honneur de la Société Musicale dont il fut longtemps un exécutant de qualité. C’est pendant ses divers mandats que furent exécutés ou entrepris d’importants travaux concernant les bâtiments communaux, les locaux scolaires et le réseau d’adduction d’eau. C’est, en effet, le 13 août 1947 qu’il signa la convention entre Orléans et St Jean de Braye relative à l’installation d’un réseau…

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Emile ROSSIGNOL – 4 –

Bonsoir, Suite de la publication d’hier soir, Emile Rossignol, maire du 14 février 1890 au 15 mai 1904 : M. Georges Bollée, notamment, s’exprima en ces termes : « Quoi qu’il advienne des projets de retraite de M. le Maire, je me tiens pour certain d’être l’interprète des sentiments de la commune et de tout le Conseil Municipal en lui témoignant notre gratitude des services rendus, depuis 14 ans qu’il a assumé la charge de l’Administration de Saint Jean de Braye, en lui adressant nos plus sincères remerciements pour son assiduité, son esprit de suite et persévérant, son caractère ferme, mais si bienveillamment conciliant, grâce auquel, malgré les divergences d’opinions, la paix et la concorde ont toujours été maintenues dans nos réunions et dans la Commune ». Bien que n’étant pas candidat aux élections municipales du 1er mai 1904, M. Rossignol obtint 256 voix sur 512 suffrages exprimés. Le 2 juin, à la première séance du nouveau Conseil, M. Georges Bollée soumit un projet de délibération adressant à l’ancien Maire, M. Rossignol, un témoignage de reconnaissance : « Le Conseil Municipal de Saint Jean de Braye, nouvellement élu, considère comme un premier devoir de témoigner à M. Rossignol, Maire, les regrets qu’il éprouve de ne plus l’avoir à sa tête. Il tient à rappeler que pendant 14 années M. Rossignol a dirigé les Services Communaux avec une ponctualité exemplaire, que son administration a été marquée par la solution de questions importantes, notamment l’achèvement du réseau vicinal si bien amorcé saus la Municipalité précédente de M. Brouard Désiré et la grande œuvre de construction de notre Groupe Scolaire. En conséquence, le Conseil décide : - que le témoignage de sa reconnaissance, pour tant de services désintéressés, sera mentionné au procès-verbal et qu’une copie en sera portée à M. Rossignol par la nouvelle Municipalité. » Cette proposition fut adoptée par 13 voix contre une, celle de…

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Emile ROSSIGNOL – 3 –

Bonsoir, Poursuivons ce soir, avec Emile ROSSIGNOL, maire de 1890 à 1904 Enfin, le 10 septembre 1891, M. Rossignol donne lecture du rapport de la Commission Supérieure d’Hygiène, lequel constate que le terrain destiné à la construction de la Mairie et de l’Ecole « est élevé et sain et non bas et marécageux comme on l’avait prétendu ». Un Conseiller tente alors une dernière manœuvre en demandant que la question de l’emplacement soit ajournée jusqu’aux élections municipales de mai 1892. Sur intervention de M. Rossignol, cette proposition n’est pas prise en considération. La dépense concernant la maison d’école et la Mairie s’est élevée à 55 000 francs, (3 000 F pour les terrains et 52 000 F pour les constructions). Le financement a été assuré par une subvention de 27 500 F et un emprunt de même somme d’une durée de 30 ans auprès du Crédit Foncier. L’inauguration de la Mairie et de l’Ecole eut lieu le 10 octobre 1893. Cinq ans après, le 22 décembre 1898, il est décidé de construire une Ecole de Filles avec annexe enfantine, sur le terrain attenant à la Mairie et à l’Ecole de Garçons. Cette Ecole - qui paraît avoir été mise en service en 1901 - est devenue en 1959 : l’Ecole Maternelle Jean Zay. C’est sous l’administration de M. Rossignol qu’une salle des fêtes, sise au dessus de l’Ecole de Filles, fut réalisée. En outre, le 12 novembre 1893, une Ecole de greffage a été instituée ; en 1900, l’éclairage au gaz du Faubourg Bourgogne fut décidé ainsi que le rattachement de la Commune au réseau téléphonique. Au cours de la séance du 17 février 1904, M. Rossignol annonça qu’en raison de son état de santé in ne se représenterait pas aux élections de mai 1904. Plusieurs Conseillers intervinrent pour essayer de le faire revenir sur sa décision et le remercier…

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Emile ROSSIGNOL – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Suite de la publication d’hier soir : Emile Rossignol, maire du 14 février 1890 au 15 mai 1904 : La commissions présenta son rapport le 21 mai 1890. Les avis des Commissaires furent très partagés - il n’y eut pas moins de six propositions différentes - car il fallait choisir, lisons-nous dans le rapport « un emplacement assez central pour égaliser autant que possible les distances des points extrêmes de la Commune, tenir compte du groupement des maisons qui est loin d’être régulier, du nombre d’enfants envoyés à l’école par chaque section de la Commune et de la viabilité des chemins pendant la mauvaise saison ; il ne fallait pas aussi trop s’éloigner de l’Église où les enfants vont une fois par semaine suivre le catéchisme ». La majorité de la Commission proposa de choisir pour emplacement le terrain situé à l’ouest du carrefour formé par les croisements des rues de la Vallée et de Grasdoux. La proposition fut adoptée par 12 voix contre 4. La séance du conseil du 18 décembre suivant devait être consacrée uniquement à étudier la délimitation et l’acquisition des terrains nécessaires. Une première escarmouche eut lieu. M. Dervaux, Conseiller, demanda l’ajournement de la séance, ce qui fut repoussé par 11 voix contre 4. Enfin, au cours de la séance du 19 janvier 1891, le Maire annonça qu’il avait été saisi de deux pétitions : l’une demandant que la construction envisagée ait lieu à Vomimbert, l’autre que l’Ecole de Garçons et la Mairie soient maintenues au Bourg ». Avec la plus grande énergie, M. Rossignol demanda au Conseil de confirmer son vote, ce qui fut obtenu par 10 voix contre 5. Le 5 mars 1891, M. Rossignol donna connaissance des résultats de l’enquête « de commodo et incommodo » concernant l’emplacement de la Mairie et de l’Ecole : 300 contribuables ont protesté : - 150 donnent comme…

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Emile ROSSIGNOL – 1 –

Bonsoir, Continuons ce soir avec M. Emile ROSSIGNOL - Maire du 14 février 1890 au 15 mai 1904 Né le 29 juin 1829 à Orléans, M. Rossignol était, croyons-nous, négociant en bonneterie, rue Royale à Orléans. On connaît peu de choses sur lui. Mais des procès-verbaux des séances du Conseil Municipal, il ressort que M. Rossignol était un homme de caractère. Par sa fermeté, il sut faire adopter ce qu’il considérait comme l’intérêt général de la Commune. Malgré l’opposition d’une partie importante de la population et d’une certaine fraction du Conseil Municipal qui s’efforcèrent pendant près de deux ans, d’empêcher le transfert de la Mairie et de l’Ecole de Garçons situées près de l’Eglise, il réussit à imposer leur construction au « Clos des Quatre-Oeufs », à l’ouest du Carrefour des « Rues de la Vallée et de Grasdoux », devenues depuis rue de la Mairie et rue Jean Zay. M. Rossignol n’habitait pas Saint jean de Braye, mais il y possédait une maison de campagne située au numéro 143 actuel de l’avenue Charles Péguy et qui demeura sa propriété de 1883 à 1908. Il fut élu Conseiller Municipal pour la première fois le 6 mai 1888. Dès le 8 septembre 1889, il manifesta l’intérêt qu’il portait à la question scolaire. Il intervint pour attirer l’attention de ses collègues sur l’insuffisance des locaux de l’Ecole des Garçons et suggéra, à titre provisoire, le dédoublement de la classe et son transfert dans un autre endroit dépendant de l’Ecole, ceci en attendant qu’une décision soit prise par le Conseil. M. Rossignol ne put développer plus longuement les motifs de sa proposition car un Conseiller s’y opposa sous le prétexte futile que la question ne figurait pas à l’ordre du jour. A la séance suivante, M. Rossignol renouvela sa proposition, mais le Conseil décida de « surseoir à prendre une décision jusqu’à plus ample…

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Jules GATELLIER – 2 –

Bonsoir, Continuons ce soir, avec Jules Gatellier, Maire de 1908 à 1912 : Jules Gatellier appartenait à cette race d’hommes « convaincus, largement désintéressés, les yeux brillants d’idéal et de passion, naïvement persuadés qu’eux seuls incarnaient l’idéal républicain ». Dès l’origine du mandat de M. Gatellier, une division très nette apparaît au sein du Conseil Municipal : pour la 1ère fois dans le procès-verbal, il est fait mention de « DROITE » et de « GAUCHE », termes tout à fait insolites dans une Assemblée Municipale. Les deux partis étaient égaux en nombre. Il convient de le souligner : c’est sous le mandat de M. Gatellier que la création d’une cantine scolaire fut décidée. La décision de principe fut prise au cours de la séance du 9 août 1908 et la cantine ouverte à la rentrée. Le menu hebdomadaire avait été établi par un règlement : Lundi et mercredi : Soupe et ragoût - Mardi et samedi : pot-au-feu Vendredi : soupe, haricots ou riz. Le prix du repas était fixé à 0,15,mais les familles devaient fournir le pain, la boisson et le dessert. La première année, 11314 repas furent servis. Les recettes s’élevèrent à 1697,10 et les dépenses à 1192,89, ce qui laissa un « boni » de 504,21. Heureux temps où le fonctionnement de la cantine était bénéficiaire ! Le 19 mai 1912, réélu Maire au premier tour, M. Gatellier – qui ne se sentait plus assez jeune – renonça de son plein gré à ses fonctions pour lesquelles ses collègues du Conseil Municipal l’avaient désigné à l’unanimité. C’est alors que M. Gallouédec accéda aux fonctions de Maire. M. Gatellier décéda en pleine guerre le 26 avril 1916, à l’âge de 79 ans. Quelques années avant, le Gouvernement lui avait décerné la Croix de Chevalier du Mérite Agricole. Dans le discours qu’il prononça à…

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Jules GATELLIER – 1 –

Bonsoir, Ce soir, nous allons faire connaissance avec M. Jules Gatellier - Maire du 17 mai 1908 au 18 mai 1912 : Jules Gatellier était, dans toute la force du terme, un enfant de Saint Jean de Braye. Son existence entière s’y est déroulée. Il y était né le 27 décembre 1836 ; il y vécut d’abord au Clos Saint-Martin qu’habitaient ses parents, puis au Coin Buffet où il était lors des combats qui se déroulèrent à Vomimbert le 5 décembre 1870 ; plus tard il s’installa aux Coutures et enfin, après la mort de celle qui avait été la compagne de sa vie, il se retira, non loin de là, chez son gendre et sa fille. « Nous autres vignerons » répétait-il souvent. Son orgueil, en effet, était d’être vigneron. Il en avait, sans répit, mené la dure vie, levé avant le jour, ne se couchant qu’à la nuit. Sa vie de labeur et d’honnêteté, la sincérité de ses convictions républicaines, unie à une grande loyauté dans les relations de chaque jour, désignaient M. Gattelier aux suffrages de ses concitoyens. Il fut élu Conseiller Municipal le 13 janvier 1878. Sauf une interruption de quatre années, de 1892 à 1896, il ne cessa d’être réélu à chaque consultation du suffrage universel. Il fut Conseiller Municipal pendant plus de 34 ans et présida aux destinées de la Commune pendant quatre ans de 1908 à 1912. Le 17 mai 1908, au troisième tour du scrutin par 8 voix contre 8 à Paul Brouard, Maire sortant, M. Gattelier fut élu au bénéfice de l’âge. Son élection marquait l’avènement « d’une couche sociale nouvelle » suivant l’expression de Gambetta. C’était, comme nous l’avons dit plus haut, la fin des « notables » qui détenaient la Mairie depuis près d’un siècle. À suivre ……. Bonne soirée. Sources :Portrait et CPA Villa…

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Léopold LEVEAU, Secrétaire de mairie

Bonsoir, Après Louis Gallouédec, maire de 1912 à 1937, voici Léopold, Joseph LEVEAU, secrétaire de mairie du 28 décembre 1908 au 31 décembre 1932, soit 20 années au côté de M. Gallouédec, maire. Qui était Léopold Leveau ? Léopold Leveau est né le dix-neuf septembre 1865 à Gaubertin (Loiret). De 1881 à 1884, il fréquente l’Ecole Normale d’Instituteurs d’Orléans, et obtient le Brevet Elémentaire en 1882. En 1884, il est nommé instituteur à Patay, puis à Beaune la Rolande et à Nogent sur Vernisson où il restera 4 ans. Il quitte Nogent sur Vernisson en 1891, pour Intville la Guétard pour une année. Il est ensuite nommé à la Chapelle sur Aveyron où il restera 4 années, puis à Cernoy pour 4 années également. Dans cette commune, il met en place un cours pour adultes qui rencontre un grand succès. A Loury, de 1900 à 1908, il organise aussi un cours pour adultes, devient le président fondateur de la société de tir. Il est aussi secrétaire trésorier de section de la Mutuelle Scolaire d’Orléans. Le 1er octobre 1908, il prend la Direction de l’école de Saint Jean de Braye, où il exercera jusqu’à son départ à la retraite en 1923. Simultanément, il est nommé secrétaire de mairie par arrêté du maire Monsieur Gatellier le 28 décembre 1908, il remplace Monsieur Pontoise. Monsieur LEVEAU est très consciencieux dans son travail, actif et très dévoué. La grande guerre terminée, il reçoit le diplôme d’honneur pour « ses excellents services comme secrétaire de mairie dans la commune qui a reçu un grand nombre de réfugiés ». En 1921, l’IP (Instruction Publique) parle d’un homme irréprochable, exemplaire, accablé par ses œuvres extrascolaires et très dévoué en œuvres complémentaires de l’école. En 1923, il fait valoir ses droits à la retraite en tant qu’enseignant, mais poursuit le secrétariat de mairie. Parallèlement,…

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Louis GALLOUEDEC – 8 –

Bonsoir, Depuis une semaine, nous vous avons présenté Louis Gallouédec au travers de nos publications; nous allons terminer ce soir avec un peu d'humour et de légèreté : M. Gallouédec était appelé "Loulou" par sa femme, ce qui avait le don de lui déplaire, surtout lorsqu'elle l'interpellait ainsi dans les cérémonies officielles. Accordons lui ce petit travers, M. Gallouédec tenait très serrés les cordons de sa bourse, c'est le moins qu'on puisse dire. Afin de faire quelques économies, lorsqu'il rentrait de Paris en débarquant à la gare d'Orléans, même de nuit, où les taxis attendaient, il partait à pied rejoindre la Motte Fresnaie, 5 bons kilomètres. A une amie qui lui en faisait la remarque, lui déclarant qu'il n'était pas tellement prudent de vagabonder ainsi seul dans la nuit, par les chemins qui ne possédaient pas l'éclairage d'aujourd'hui, il lui répondit après deux secondes : si vous saviez, Madame, comme la campagne de Saint Jean de Braye est belle sous la lune........... Si vous êtes très intéressés par M. Louis Gallouédec, l'homme, sa vie, son œuvre, .......procurez-vous le livre ci-dessous, vous y apprendrez beaucoup de choses. Vous pouvez l'acheter bien sûr, mais vous le trouverez également à la médiathèque de Saint Jean de Braye. Très bonne soirée, et à demain. GALLOUEDEC par G. JOUMAS - Ed. PARADIGME

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