Karine BOUCHER – 5 –

Bonsoir à toutes et à tous, En février 2023, Karine Boucher, jeune championne abraysienne, a fait l'objet de quatre de nos publications. Ce week-end, Karine Boucher était de retour à Saint Jean de Braye. Elle a été accueillie par Madame le maire pour la remise de l'insigne de Chevalier de l'Ordre National du Mérite par Yann Cucherat. Une joie et un honneur pour Madame le maire et pour la ville de Saint Jean de Braye ! Un moment de reconnaissance, par la Nation et la commune, du parcours sportif personnel et professionnel de Karine Boucher. Son palmarès est impressionnant et les Abraysiennes et les Abraysiens peuvent en être fiers : - Vice-championne du monde de tumbling 1998 - Championne d'Europe de tumbling 1998 - Championne d'Europe de tumbling par équipe 1997/1998 - Championne de France de gymnastique artistique féminine (GAF) 1986, 1987, 1988 - Championne de France de tumbling 1997 Par ailleurs, elle a fait partie de la délégation française aux Jeux olympiques d'été de 1988 à Séoul et aux Jeux olympiques d'été de 1992 à Barcelone. Félicitations à elle, un exemple pour les jeunes générations ! Excellente soirée à vous et à demain. Sources : Texte et photo : Madame V. Slimani, maire de Saint Jean de Braye Karine Boucher et Madame le maire

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Le garde-champêtre (recherches)

Bonsoir à toutes et à tous, La police rurale est très ancienne puisqu’elle remonte au moyen âge avec son premier représentant : le garde champêtre. Nous nous souvenons tous du garde-champêtre des années 1950/1960 lorsque nous étions encore enfants. Il effectuait des travaux divers et les annonces officielles avec son tambour, à la criée, aux carrefours des rues de nos villages. A Saint Jean de Braye, depuis longtemps déjà, la Police Municipale a remplacé le garde-champêtre. Avez-vous des souvenirs du (ou des derniers) garde-champêtre de notre ville ? N’hésitez pas à commenter, nous n’avons aucune information pour le moment, et si vous aviez des photos, ce serait formidable ! Ce soir, à défaut de la photo d’un garde champêtre abraysien, nous avons choisi cette image pour illustrer notre publication. Nos attendons vos commentaires, vos photos et témoignages, et vous en remercions. Bonne soirée et à bientôt. Le garde-champêtre

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 4 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : SUITE et FIN Le choix d’être Bénédictine, ce n’est pas celui d’une profession particulière. Cela dépend de chaque sœur, le point commun étant « une histoire d’amour avec Dieu », une sorte de « coup de foudre et de long cheminement ». On peut aussi tomber amoureuse d’un nom « Bénédictine de Notre-Dame du Calvaire », c’est à dire la louange et la compassion, ou d’un lieu : le monastère. De la plus jeune (28 ans) à la plus âgée (88 ans), la règle est identique : elles sont postulantes, novices à Saint Jean de Braye. Elles y prononcent leurs vœux, y vivent, y prient et travaillent comme « en famille » jusqu’à leur mort. En choisissant d’être Bénédictines, ces femmes venues de partout, choisissent d’être Abraysiennes. A Saint Jean de Braye, on peut aimer passer sa vie à chercher Dieu. Fin Excellente soirée à vous, et à demain. CP - site Delcampe

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 3 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : SUITE Gâteaux et eau d’Émeraude les gâteaux des sœurs ! Les sœurs gagnent grâce à eux, leur pain quotidien. « Nous sommes unies ainsi au monde du travail, aiment elles à préciser. De plus, cette production laisse une assez grande disponibilité d’esprit, pour la prière ». Sablés, croquets, croquignoles, amandines, palets, rochers, cakes : huit tonnes de biscuiterie fine sortent chaque année du monastère. Les ingrédients sont entièrement naturels, pas de conservateurs ni d’additifs. La vente s’effectue dans des magasins ou à l’église « Notre Dame des Miracles » à Orléans, les 1er et 3ème samedi de chaque mois. Ne pouvant sortir elles-mêmes hors du monastère, ce sont des amis laïcs qui aident les moniales pour la vente. Ainsi en est-il pour le petit magasin situé dans le monastère. Quant à l’eau d’émeraude , sa fabrication reste un secret gardé depuis sa découverte par une sœur apothicaire au 17ème siècle. 3000 litres ont été produits l’an dernier . La distillation de ce liquide, riche en propriétés pour la peau, commence dès le mois de mai, quand les plantes cultivées sur place ont fleuri. À suivre …….. Bonne soirée et à demain Sablés Eau d'Emeraude (flacon)

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : SUITE « ORA et LABORA » ORA et LABORA. Prie et travaille. Dans une cellule, une sœur lit, assise à sa petite table. Par la fenêtre, elle regarde le ciel et la frontière du cloître. C’est son moment d’oraison, de prière solitaire. « La prière prend toute notre vie, explique t elle. C’est notre travail qui devient prière. Nous gardons le silence et ne parlons que par nécessité du travail et de la charité ». Les offices rassemblent toute la communauté sept fois par jour. Dans l’église, séparée en deux parties par une balustrade, une sœur sonne les cloches pour avertir ses compagnes dispersées. C’est l’heure de sexte, office du milieu du jour. Très court, il précède le déjeuner de chants, louanges et de psaumes. Une sœur se dirige vers le pupitre pour lire une lettre de Saint Jean. Sur le mur de briquettes rouges, un chemin de croix en céramique reçoit la lumière bleue, verte ou jaune des longs vitraux unis. Passage vers le réfectoire, très simple : tables de bois blancs, nom de chaque sœur inscrit sur une étiquette blanche à sa place ; le courrier l’y attend. Une moniale lira durant le repas des livres spirituels ou des vies de saints. Mais on sonne à la porte. C’est un visiteur. Il connaît les spécialités des sœurs abraysiennes et vient en acheter : ce sont les gâteaux. À suivre …… Bonne soirée et à demain pour la…

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Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous, Afin de se rapprocher de l’Abbaye de Fleury à Saint Benoît sur Loire, la Communauté des bénédictines de Notre Dame du Calvaire s’est installées à Bouzy la Forêt en 1999. Mais, savez-vous où et comment vivaient ces bénédictines à Saint Jean de Braye ?? Un reportage, publié dans le numéro 2 de « Notre ville » de Juin 1984, nous donne toutes les informations : Vivre dans la ville - Les Bénédictines : Entre les Parfums DIOR et le CRÉDIT AGRICOLE, un haut mur borde la route de Pithiviers. Il cache un parc au milieu duquel vivent vingt-cinq femmes. Leur espace : ce sont ce bois, ces pelouses, un monastère. Leur temps : chaque journée rythmée par la prière et le travail. Elles se nomme « Bénédictines de Notre Dame du Calvaire ». Suivre une règle vieille de quatorze siècles n’empêche pas ces moniales en robe noire de se sentir abraysiennes d’aujourd’hui. Abraysiennes, elles le sont depuis 1964. C’est à cette date que l’ancien pavillon de chasse du Petit Cormier est agrandi d’un cloître, de cellules, et d’une église. Les sœurs viennent de Vendôme ou d’Orléans, deux monastères qui fusionnent pour n’en donner plus qu’un : celui de Saint Jean de Braye. Les bâtiments récents, murs en béton nu, jouissent de l’espace du parc et des prairies de ce coin du Loiret. Sobre, carrée, moderne, la salle du chapitre révèle l’ancienneté de la congrégation par ses stalles de bois foncé, transmises d’âge en âge. Au détour du cloître, dont les fenêtres en ogives ferment la partie intérieure, un Saint Joseph du 16ème siècle témoigne lui aussi, qu’en ce lieu, se renouvelle une tradition religieuse vivace. Ici, Saint Benoît est présent sur toutes les lèvres, dans les livres et le silence que l’on respire. La règle, l’emploi du temps des moniales, c’est un texte écrit dont les maîtres mots « ORA et…

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Louis-Joseph SOULAS – Exposition

Bonjour, Une exposition à découvrir : Jusqu'au 14 mai, allez découvrir l’exposition : "Soulas... au fil de l'eau" proposée par l'association "Louis-Joseph Soulas, Mémoires d'une terre gravée". Du lundi au vendredi de 14h à 18h, samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h Château des Longues Allées à SJDB Photos : Site de la ville de SJDB et ChR St Jean de Braye St Jean de Braye Pêcheur de Loire La Beauce

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Jeanne d’Arc – 2 –

Bonsoir à toutes et à tous, Jeanne d’Arc a livré son premier combat et a remporté sa première victoire à Saint Jean de Braye. Aussi, François Marchand, auteur abraysien, a écrit dans l’un de ses livres : « Saint Jean de Braye devrait figurer en bonne place dans l’Histoire de France ». Afin d’honorer « Jeanne la Lorraine », c’est le 27 février 1961, que le Conseil Municipal de notre commune donna le nom de Jeanne d’Arc à la rue autrefois appelée « Rue Basse ». Elle commence rue des Châtaigniers et se termine Avenue Louis Joseph Soulas. A l’occasion des fêtes du 500ème anniversaire, le maire Louis Gallouédec et son équipe municipale ont inauguré le monument de la Place Saint Loup le 4 mai 1929. Chaque année, le 1er mai, avant la traversée de la Loire, la jeune fille qui incarne Jeanne d’Arc et ses pages, sont accueillis au port Saint Loup par le maire de Saint Jean de Braye et les élus abraysiens. Demain, 1er Mai 2023, Madame le Maire, Vanessa Slimani, accueillera donc Clairvie Quesne, lycéenne de 16 ans qui figurera Jeanne. Très bonne soirée à vous, et à demain. Sources : Livre de François Marchand CPA : collection G. Creusillet Photos : ChR Inauguration du monument en 1929 Monument aujourd'hui Monument aujourd'hui

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Jeanne d’Arc – 1 –

Bonsoir à toutes et à tous, Bientôt les fêtes de Jeanne d’Arc à Orléans et la chevauchée du 1er mai. Le départ de la chevauchée est donné à 10h, place du Martroi avant de relier le Port Saint Loup autour de 11h45, puis la traversée de la Loire. Ces fêtes se tiendront pour leur 594e édition du 29 avril au 8 mai 2023. Mais, savez-vous que Jeanne d’Arc a séjourné à Chécy puis à Saint Jean de Braye ? Jeanne d’Arc, née en 1412 à Domrémy (village situé dans les Vosges) est une jeune fille issue d’une famille de laboureurs aisés de Lorraine. Elle dit entendre des voix qui lui demandent de se rendre auprès de Charles VII, fils du roi de France écarté du pouvoir au profit d’un roi anglais, et de l’emmener à Reims pour qu’il y soit sacré. Elle sera nommée chef de l’armée pour « bouter hors de France les anglais » qui ont investi indûment le royaume de France et le duché d’Orléans alors que le Duc Charles d’Orléans a été fait prisonnier en Octobre 1415 à la bataille d’Azincourt. A son retour de Chinon, elle franchit la Loire en vis à vis de Chécy, et se rend au Château de Reuilly. Le 29 Avril 1429, elle traverse Saint-Jean de Braye. Elle se serait arrêtée dit-on à la Fosse Belaude pour se reposer, avant d’entrer à Orléans vers 8H00 du soir où l’accueille une foule impatiente. Le 4 Mai, Jeanne d’Arc avec ses compagnons d’armes, La Hire, Xaintrailles, Dunois et ses troupes reprendront la Bastille Saint-Loup que les Anglais avaient fortifiée dès le mois d’Octobre 1428. Par la suite, les choses tournent au drame….. Jeanne d’Arc est brûlée vive à Rouen le 30 mai 1431. Excellente soirée et à demain. Sources : Site de la ville de Saint Jean de Braye et livre « 100 héroïnes…

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