Le foyer Marie-Claire et Claude Chavaneau – 1 –

Bonsoir, Jeudi après-midi, nous présenterons le diaporama sur le canal, au foyer Chavaneau, 24 allée Pablo Picasso. Connaissez-vous ce foyer et son histoire ? En Octobre 1982, on pouvait lire dans les « Informations Municipales » : Le Foyer-Club-Restaurant pour personnes âgées, situé au 24 allée Picasso, au cœur du Centre-Ville , a ouvert ses portes mercredi 22 septembre 1982. Le restaurant affichait complet ce jour-là pour un premier repas fort sympathique, en présence de Monsieur le Maire, de quelques conseillers municipaux et du Président du Club du troisième âge. Outre la possibilité de venir prendre leur déjeuner (s'inscrire la veille par prudence) en compagnie ou non d'invités de n'importe quel âge, tous les retraités ou pré-retraités résidant dans la commune peuvent venir s'y détendre de 10h à 18h, du lundi au vendredi. Des jeux de société les y attendent ainsi que des revues, des disques, ....bientôt une bibliothèque et toutes sortes d'activités de leur choix. Madame Roche, la directrice, est à l'écoute pour recueillir désirs et suggestions en matière d'animation. Madame Renault, en tant que coordinatrice, répondra à toutes vos questions concernant le maintien à domicile. Un responsable de cuisine, une femme de ménage, et deux personnes pour le service complètent l'équipe d'animation. Ce foyer est également un point de distribution des tickets d'autobus du 1er au 15 de chaque mois. Le tarif des repas est calculé en fonction du quotient familial de chacun. Pour marquer les trente ans du foyer-restaurant, il a été décidé en 2012 de lui donner un nom. Il est désormais appelé : Foyer Marie-Claire et Claude Chavaneau. Pour quelle raison ce nom a t il été choisi ? Dites nous. Très bonne soirée, et à demain Photo JJR prise lors d'une projection au foyer en 2017 Lors d'une projection au foyer en 2017

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Roche

Bonsoir,Afin de répondre aux interrogations de Thierry G. , précisons que la demeure de Roche est toujours existante au 8 rue de Roche. L'ensemble de la propriété a été divisé en plusieurs habitations. Aujourd'hui, elle est bien cachée derrière ses clôtures, son portail et la végétation existante comme en témoignent ces photos récentes (ChR). Hier vous avez pu voir les extérieurs dans la publication intitulé : Un sous-sol plein de trésors, ce soir quatre cartes postales vous permettront d'en découvrir les intérieurs autrefois (photos Félix-Orléans). Excellente soirée à tous, portez vous bien, et à demain. Roche aujourd'hui Roche aujourd'hui Roche aujourd'hui Roche autrefois Roche autrefois Roche autrefois Roche autrefois

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Un sous-sol plein de trésors !

Bonsoir, Un sous-sol plein de trésors à Saint Jean de Braye ! Le saviez-vous ? Du côté de Feularde : - En avril 1949, Monsieur Roger Roncin a découvert en creusant les fondations d’une maison au lieu-dit Feularde, à une profondeur de 2m60, une cachette de 552 monnaies romaines, très oxydées et datant de la seconde moitié du IIIème siècle. On y trouvait surtout de petits bronzes qui ont été remis à l’époque pour étude, au Conservateur du Musée d’Orléans. - En 1999, avant la réalisation des habitations et de la voirie du « Clos de Feularde », qui couvre un espace de 5.50 hectares, des fouilles ont été entreprises Deux zones principales contenant des vestiges ont été mises en évidence : - La première, à l’Ouest, est caractérisée par la présence de bâtiments. - La seconde, immédiatement à l’Est des constructions, est composée de fossés parcellaires. L’ensemble couvre une surface d’environ 1 hectare et demi. La datation imprécise en raison du peu de mobilier découvert, indique une occupation comprise entre le 1er et le 3ème siècle de notre ère. Le diagnostic n’a pas permis de mesurer avec exactitude l’état de conservation des bâtiments, ni d’en déterminer la fonction précise. A l’angle de la rue d’Ambert et du Faubourg Bourgogne : La découvert a eu lieu le 10 avril 1867 ; Monsieur Luçon-Jallerat, cultivateur, faisait construire une maison au hameau de Saint Loup, sur un terrain à l’angle de la rue d’Ambert et du Faubourg de Bourgogne. Un ouvrier maçon baissait le niveau de la future cour, lorsque soudain, arrivé à une profondeur de 40 à 50 centimètres, son instrument rencontra une sorte de voûte en larges et épaisses briques, qui elle-même reposait sur une aire en mortier ; cette aire, à son tour, s’appuyait sur un petit mur formant un carré de 60 à 80…

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La ferme de la Bussière aux Bas Avaux

Bonsoir,Bravo à Pascal qui a bien identifié la ferme de la Bussière, au 112 rue des Bas Avaux.Ancienne propriété de la famille Lemesle.Aujourd'hui, M. et Mme Olivier Poulard, agriculteurs, y produisent et vendent des fruits : pommes et poires, et des jus de fruits. On y trouve aussi des légumes frais. Comme nous l'avons déjà évoqué dans le passé, Olivier Poulard est aussi distillateur ambulant. Passez une belle soirée, et à demain. CPA - La ferme de la Bussière autrefois - Collection Gérard Creusillet - Photo ChR : la ferme de la Bussière aujourd'hui - Etiquette d'une bouteille de jus de pomme. La ferme de la Bussière aujourd'hui Carte postale ancienne (G. Creusillet)

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Où êtes vous ?

Bonsoir, Après de nombreuses publications sur les Usines d'Ambert, ce soir, on change de thème ! Par une belle journée ensoleillée, vous vous promenez avec des amis et tout en marchant et en discutant, vous vous éloignez du centre de Saint Jean de Braye. Où êtes vous ? Nous attendons vos réponses, et vous souhaitons une très bonne soirée. à demain. Photo ChR Où êtes vous ?

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Usines d’Ambert – La crèche

Bonsoir, Continuons ce soir, avec les usines d’Ambert qui ont offert, très tôt, de nombreux services et avantages à leurs salariés :Dès 1925, une crèche et un jardin d’enfants dans l’usine.Dès la fin de leur congé de maternité, les jeunes mamans reprenaient leur travail et pouvaient déposer leur nourrisson à la crèche. Elles bénéficiaient de temps de pause pour aller allaiter leur bébé sur place. Par ailleurs, ces mamans quittaient leur poste de travail quelques minutes avant les autres le soir ; elles pouvaient ainsi récupérer leur progéniture à la crèche ou au jardin d’enfants et sortir du site avant les embouteillages occasionnés par la sortie des ateliers. Un retraité rencontré récemment se souvient de ses journées passées au jardin d’enfants. Il dit avoir encore en tête la sonnerie de la pointeuse de l’usine ; en effet, sa maman pointait à son arrivée et le conduisait ensuite au jardin d’enfants. Photos : Archives départementales ou municipales ? Bonne soirée à vous.  La crèche des Usines d'Ambert La sortie des Usines d'Ambert

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Usines d’Ambert – L’école d’apprentissage

Bonsoir,Suite à notre publication d'hier soir, Pascal et  Arnaud ont identifié l'école d’apprentissage des Usines d'Ambert. BRAVO à eux ! Une bonne école d'apprentissage d'après les témoignages des anciens ouvriers des Usines d'Ambert ! Les jeunes pouvaient y entrer à 14 ans pour une formation de trois années ; ils en ressortaient avec deux CAP (tourneur, fraiseur, ou ajusteur) ; ils étaient tous embauchés par les usines mais avaient un engagement avec celles-ci pour une ou deux années. Créée dans les années 40, cette école d’apprentissage ferma ses portes en 1954, quand l’Education Nationale ouvrit les établissements d’enseignement professionnel.Les cours théoriques étaient donnés dans des salles de cours sur le site des usines, mais ne dispensaient pas les apprentis des Cours professionnels ; quant à la pratique, elle se faisait dans un atelier.A chaque rentrée, quinze jeunes, sélectionnés avec beaucoup de sérieux, intégraient l’école d’apprentissage. Ainsi, quarante-cinq apprentis se trouvaient continuellement en formation, toutes promotions confondues. La réussite aux examens : 100%. Les relevés de notes étaient transmis tous les trois mois : blâme ou renvoi, en fonction de la moyenne générale, pour les apprentis ayant obtenu une moyenne inférieure à 12. ----------2 photos Ecole d'apprentissage : Source inconnue -  Photo JJR : plan du site des usines d'Ambert Très bonne soirée et bon dimanche à vous Plan du site des usines d'Ambert Ecole d'apprentissage Ecole d'apprentissage

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Compagnie Générale de Productique (CGP)

Bonsoir, Ce soir, une entreprise abraysienne : En 1991, la Compagnie Générale de Productique (CGP) Filiale du groupe industriel franco-anglais GEC-ALSTHOM : La Compagnie générale de productique pèse quatre cents millions de chiffre d’affaires dont 30 % à l’exportation ; une dimension européenne pour cette entreprise spécialisée dans la manutention et le stockage automatisé. La mutation technologique. L’entreprise sait évoluer. Dans les locaux de l’ancienne usine d’armement du début du siècle, elle a d’abord fabriqué des rayonnages industriels. En 1965, les premiers transtockeurs (appareils de stockage automatique) sont construits par la CGMS devenue en 1981 CGP. Activité intégrée à la division robotique et atériaux du groupe GEC-ALSTHOM, le métier de la CGP repose sur un schéma précis : analyser les besoins du client, proposer une solution adaptée, la vérifier, grâce à une simulation par ordinateur, réaliser les équipements, les mettre en œuvre et en assurer le suivi (technique, formation, assistance à l’exploitation). Désormais la matière grise est devenue prépondérante au sein de la société. Elle complète la capacité de production qui compte désormais un quart des effectifs sur les quatre cents quarante salariés. La CGP utilise des techniques très pointues, qui lui permettent d’intégrer les automatismes de ses produits à base de microprocesseurs, ou d’automates programmables et d’assurer le pilotage automatique de ces ensembles. Une organisation renouvelée 30 ans d’expérience dans la manutention et le stockage automatisé permettent à la CGP d’occuper une place prépondérante sur le marché. 70 % du parc français des transtockeurs a été vendu par la CGP, ce qui autorise l’optimisme, le marché étant en plein essor. Récemment, la société Climax Automatisation de Blois a rejoint la CGP, complétant grâce à sa spécialité, la manutention robotisée, l’offre de la CGP : manutention aérienne, manutention au sol, stockage automatisé, services. Spécialiste européen de ce marché la CGP présente une fiabilité totale et les meilleures références. Des clients de renom Nissa,…

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Industrie et Commerce à Saint Jean de Braye en 1964

Bonsoir, Aujourd'hui, nous allons vous parler de l'Industrie et du Commerce à Saint Jean de Braye, en 1964 : Une usine importante : Les Ateliers de la Compagnie Générale d’Electricité ou Usine d’Ambert. Créés en 1917 en vue des fabrications de guerre, ces Etablissements produisent maintenant des appareils de levage, des génératrices et des moteurs électriques ; ils comportent une fonderie de fonte et une fonderie de bronzes spéciaux. L’effectif - ouvriers, employés et cadres – est d’environ 1300. La moyenne industrie est représentée par la Fonderie de cloches BOLLEE, maison plus que centenaire qui fournit des carillons d’église dans les contrées les plus lointaines. Les Constructions Métalliques GRANGER, les Etablissements RACAUD, Matériel agricole : fers à bœufs, charrues, herses ; la distillerie SEDOR, les Etablissements DUPRE, fabrique d’appareils à décoller le papier ; BILLIARD industrie mécanique ; Société FRANCIAFLEX : stores en plastique ; les Laboratoires ORLABO, la Serrure moderne ; la Société MATFOUR, construction matériel et fours pour boulangeries. Le commerce de gros porte sur les essences (dépôt Shell Berre), les vins, les fruits, etc. Une brûlerie de cafés, le commerce et la réparation des machines agricoles, les Entreprises du bâtiment, ajoutent à cela leur part d’activités. Nombreux sont les artisans dont l’activité déborde souvent du cadre communal. Une zone industrielle en cours d’aménagement permettra à l’industrie de se développer et de donner une plus grande activité à Saint Jean de Braye. Sources : Bulletin municipal numéro 1 de décembre 1964 - Photos JJR : Usines d'Ambert en 2011, avant démolition - Photos en noir et blanc : Source inconnue. Très bonne soirée à vous. Usines d'Ambert avant la démolition Usines d'Ambert avant la démolition Usines d'Ambert Les fonderies des Usines d'Ambert

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