Quartiers

Bonsoir à toutes et à tous, Parlons ce soir, de la SHOL abraysienne : Une société d’horticulture pour entretenir son jardin : tel est le titre de l’article paru dans la République du Centre du samedi 3 et dimanche 4 Octobre 1992. Il était une fois quelques personnes de Saint Jean de Braye, des professionnels de la terre, qui pressaient Bernard Denis de créer une section abraysienne de la Société d’Horticulture. Jean Noé et André Pouet semblaient y tenir beaucoup. Une autre personne appuyait leur demande : Monsieur Le Forestier, Président Départemental de la SHOL ( Société d’Horticulture d’Orléans et du Loiret). Un soir de janvier 1991, une réunion amicale regroupa ces personnes chez Bernard Denis et à partir de cette date, tout s’accéléra. Le 16 mars 1991 se tenait la première assemblée générale. La 22ème section dans le Loiret de la SHOL venait de naître. « C’était une réunion de quelques personnes qui voulaient apprendre à entretenir leur jardin et fleurir leur maison » se souvient Jacqueline Dagues , qui, depuis est devenue la secrétaire omniprésente de la section de Saint Jean de Braye. Il faut dire que, dès sa première apparition, la municipalité n’a pas ménagé ses appuis et ses encouragements à la toute jeune section, et que James Desbrosses, directeur technique des jardins de la ville, apporte tous les éléments nécessaires à une meilleure connaissance, alors que Danielle Jacquelin, toujours apprenant du nouveau au centre de la Mouillère, est devenue une spécialiste de l’art floral, et n’hésite pas à partager son savoir avec tous les adhérents de la SHOL. Soixante adhérents composent la section abraysienne, mais le bureau directeur souhaiterait atteindre rapidement les cent membres pour avoir la possibilité d’aller encore plus loin. « Nos adhérents veulent tout apprendre, depuis le coup de sécateur jusqu’à la réalisation d’un jardin et la conservation des plantes. Nous sommes à l’écoute…

Bonsoir à toutes et à tous, Article paru dans l'édition de la République du Centre aujourd'hui : Lisez donc ! 100 ans jour pour jour pour le monument aux morts de Saint Jean de Braye. La république du centre du 13 novembre 2021 Bonne soirée à vous, et bon dimanche.

Bonsoir à toutes et à tous,Revenons ce soir sur les 100 ans du Monument aux morts de notre ville, inauguré en 1921,  le 13 novembre par Louis Gallouédec, maire. Prenez le temps de lire ces deux pages provenant du catalogue de l'exposition "14-18 Saint Jean de Braye dans la Grande Guerre", vous y apprendrez comment ce monument a été financé, son coût, et le déroulement de son inauguration.  Page 1 Page 2 Nous joignons à cette publication deux photos (ChR) : - Madame le maire pendant la cérémonie du 11/11/2021 et les musiciens d'AML Madame le Maire et les musiciens d'AML - le monument sur la place,  au milieu des chrysanthèmes aujourd'hui Le monument entouré de chrysanthèmes aujourd'hui Bonne soirée et à demain, 

Bonsoir à toutes et à tous,Le saviez-vous ? Le 11 novembre devient férié à la suite d'une loi du 24 octobre 1922. C'est ce qui explique qu'en 1921, le Monument aux morts de Saint Jean de Braye a été inauguré le 13 novembre 1921 (et non le 11/11) par le maire Louis Gallouédec. Cent ans séparent ces deux photos : 2021 - Madame Vanessa Slimani, maire Photos ChR : 2021 : Vanessa Slimani, maire, lors de la cérémonie de commémoration, ce matin, Place de Gaulle 1921 - Monsieur Louis Gallouédec, maire 1921 : Louis Gallouédec, maire, lors de l'inauguration du monument aux morts. à suivre ............Très bonne soirée et à demain 

La grille aux piques « Je suis la grille, de la mairie, (m'a dit la grille de la mairie), et je fus étonnée, me mirant l'autre jour, de voir sur mon chapeau implantées, très hargneuses, des flèches et des piques droites et en trident ; n'est-ce pas, me disais-je Là, la « Maison du Peuple » ? Pourquoi m'a-t-on coiffée d'aussi peu accueillante et méchante parure ? A-t-on voulu par là lorsque le peuple est dans l'empêcher de sortir ou s'il se trouve hors l'y empêcher d'entrer ? » « Ah, non, vraiment, vraiment que l'Homme est donc bizarre. » Un poète abraysien (1948) Sources : Bulletin municipal - année 1977 La grille de la mairie

Bonsoir, Quelques données démographiques ce soir, qui surprendront très certainement nos plus jeunes lecteurs ! Au recensement effectué le 7 mars 1962, le nombre d'habitants de St Jean de Braye s'élevait à 6829. Un arrêté interministériel du 17/12/1965, pris à la suite d'un recensement complémentaire, ayant eu lieu en octobre de la même année, a fixé à 7675 le chiffre de la nouvelle population et à 1178 le chiffre de la population fictive, soit au total 8853 habitants. C'est ce dernier chiffre qui est pris en considération à compter du 1er janvier 1966 pour le calcul de l'attribution de la taxe locale. Lors du recensement complémentaire, il y avait 78 immeubles en construction comprenant 287 appartements donnant une population fictive de 1148 et un foyer de célibataires (usine d'Ambert) de 30 chambres. Naissances - Mariages - Décès en 1665 - 1765 - 1865 - 1965 Année 1665 : Baptêmes : 76 - Mariages : 21 - Décès : 47 (dont 28 enfants) Année 1765 : Baptêmes : 31 - Mariages : 8 - Décès : 35 (dont 21 enfants) Année 1865 : Naissances : 30 - Mariages : 9 - Décès : 20 (dont 4 enfants de moins de 3 ans). La durée moyenne de la vie des adultes est de 56 ans Année 1965 : Naissances : 105 - Mariages : 28 - Divorces : 2 - Décès : 55 (dont 2 enfants de moins de 3 ans). La durée moyenne de la vie des adultes est de 68 ans. Sources : bulletin municipal de décembre 1966 - Photo : JJR Très bonne soirée, et bon week-end à tous. La mairie de Saint Jean de Braye 21215 commentaires3 partagesJ’aimeCommenterPartager

Bonsoir, Installée en 1982 au 21 rue René Cassin, la bibliothèque présente des expositions, des spectacles, au cours des années 1983, 1984 et les suivantes. Les classes y viennent de plus en plus nombreuses, de la maternelle pour écouter des histoires, et jusqu'à la classe de 3ème pour travailler sur la documentation, lire et rêver parfois. La bibliothèque restera à cet endroit jusqu'en 1989, année d'ouverture de la médiathèque actuelle, place de la commune. Aujourd'hui, la médiathèque est un espace ouvert à tous au cœur du centre-ville pour lire, faire des recherches, librement et gratuitement… mais aussi voir des expositions, assister à des conférences, des spectacles de conte, des concerts ou encore des rencontres d’écrivains… Seul l’emprunt des documents nécessite une adhésion, qui est gratuite. En outre, l’accès aux postes informatiques et à l’espace jeu vidéo demande en outre la signature d’une charte d’usage. Alors, si vous êtes abraysiens, n'hésitez pas, allez donc y faire un tour ! Bonne soirée, et à demain. Sources : revues municipales de début de l'année 1983 et 1984 - Photo : Médiathèque de SJDB La bibliothèque - 21 rue René Cassin Revue municipale de janvier 1984 La médiathèque aujourd'hui (Place de la Commune)

Bonsoir à toutes et à tous, Nous avions terminé lundi soir, en disant : "Les responsables municipaux en sont pleinement conscients, il faudrait une nouvelle bibliothèque au centre ville". Nous étions à ce moment là : au début de l'année 1980. Deux ans plus tard, le 24 avril 1982, M. Marcel Joriot, maire, et son équipe municipale inaugurent la bibliothèque municipale située au 21 rue René Cassin. (Quartier de la Haute-Croix). Celle-ci rencontre un vif succès auprès des abraysiens et au 31 décembre 1982, après huit mois d'ouverture, elle compte 1400 lecteurs, soit 10% de la population de la ville à cette date. Plus d'informations sur la page 12 de la revue municipale de début 1983. Bonne soirée à vous, et à demain. Sources : revue municipale de début 1983. Page 12 de la revue municipale de début 1983. L'entrée de la bibliothèque municipale - 21 rue René Cassin

Bonsoir, Après la bibliothèque de la Pomme de pin, puis la bibliothèque du 3ème âge, voici la bibliothèque du Centre social de Pont Bordeau, pour les enfants. Nous sommes toujours en 1980 : Elle vient de s’illustrer par une « Semaine du Livre pour Enfants » très réussie et représente bien l’effort actuellement entrepris en faveur de la lecture. La volonté du Directeur du Centre Social, M. Daniel Pie ainsi que les deux animatrices de la bibliothèque, Mmes Nogier et Gasc (cette dernière en bénévole) est de transformer l’approche » du livre par les enfants. Le livre prend en effet, une importance toute particulière dans le développement de la personnalité de l’enfant, être en devenir et non adulte en miniature. La lecture influe sur le devenir de celui-ci dans la mesure où elle lui permet de ne pas le limiter à son environnement immédiat (famille, école, copains du même milieu social…). Mais de lui faire découvrir la richesse du monde, l’infinie potentialité dans laquelle il aura à créer sa route, elle lui permet en outre de développer sa sensibilité, de relativiser les événements de son vécu. Le livre peut ainsi constituer pour l’enfant une véritable porte ouverte vers son avenir, lui donner les moyens d’acquérir une certaine liberté. Il n’est pas reçu tout à fait comme la télévision mais porte et nécessite la trajectoire d’un vécu, on refait le livre en lisant ; le lecture est cheminement, mûrissement, éveil de la sensibilité, le récit fit appel aux fantasmes du lecteur, son imaginaire est sollicité ; c’est un acte créateur qui développe l’intelligence analytique, la réflexion, l’esprit critique. Par ailleurs, le livre pour enfant est aujourd’hui un véritable objet d’art auquel ont contribué des artistes de talent ; il est le lieu privilégié d’expression et de création. Objet poétique et attractif donc (également pour beaucoup d’adultes qui…